ARCHIVO VIRTUAL DE SEMIÓTICA
1. MANUAL DE ESTUDIOS SEMIÓTICOS
1.3 CONCEPTO Y DESARROLLOS DE SEMIÓTICAS PARTICULARES
1.3.13
DESARROLLOS PEIRCEANOS
Message 577
From: Darcilia Simões
Date:
Sun Jul 16, 2000 8:23pm
Subject: Desarrollos peirceanos 1
Solicito informes bibliográficos sobre semiótica lingüistica aplicada de extração peirceana. Venho trabalhando com metodologia do ensino da língua portuguesa e tenho buscado facilitar a leitura/produção de textos por intermédio de aplicações da teoria da iconicidade de Peirce na interpretação dos textos. Os mais avançados nas pesquisas semióticas chamam meu trabalho de aplicação de uma semiótica sincrética pelo entrecruzamento de códigos com que venho operando, com ênfase no lingüístico e no pictórico. Como já lhes dissera nos primeiros contatos, sou noviça nos estudos semióticos, tendo iniciado minhas leituras teóricas em 1988. Por isso, achei importante ingressar no Grupo Semioticians para poder contar com a ajuda dos colegas cujas leituras encontram-se avançadas e, portanto, podem dar-me algum auxílio. Desde já agradeço-lhes a cooperação.
Darcilia Simões
Message 578
From: Jose Nicolas
Romera <[email protected]>
Date:
Mon Jul 17, 2000 9:50am
Subject: Desarrollos peirceanos
2
Para Darcilia Simoes
Estimada colega:
Sobre tu tema puedo informarle
sobre una de nuestras publicaciones del Instituto de
Semiótica Literaria, Teatral y Nuevas Tecnologías
(Universidad Nacional de Educación a Distancia, de
Madrid): -Número monográfico sobre "PEIRCE Y LA
LITERATURA" en SIGNA. REVISTA DE LA ASOCIACIÓN ESPAÑOLA
DE SEMIÓTICA, nº 1 (1992), 243 págs. Saludos cordiales
José Romera Castillo
Director del ISLTYNT E-mail: jroemra@f...
Message 582
From: Fernando
Andacht <[email protected]>
Date:
Thu Jul 20, 2000 11:33am
Subject: Desarrollos peirceanos 3
Estimada Darcília y otros semioticians con
este posible interés teórico en semiótica y lingüística,
En respuesta a tu pregunta bibliográfica
"sobre semiótica lingüistica aplicada de
extração peirceana" quería sugerirte los trabajos de
alguien que me han parecido de gran rigor y de fuerte
orientación triádico-peirceana. Me refiero a la bora
del lingüista norteamericano MICHAEL SHAPIRO.
1983 _The sense of Grammar_ Bloomington:
Indiana Univ. Press
1991 _The sense of
Change_ Bloomington: Indiana Univ. Press
Extraigo lo siguiente del prólogo del segundo volumen (1991) que el autor considera miembro de este "díptico teórico": así puedes formarte una idea sobre el alcance de la reflexión teórica de Shapiro:
"This book is intended as a companion volume to _T.S. of G. Language as Semeiotic_ (1983). It shares with its predecessor a reliance on the thought of the modern founder of the theory of signs, C.S. Peirce. IN that sense it is the second panel of a diptych dedicated to the founding of a Peircean linguistics in a neo-structuralist frame that unites the insights of European structuralism with semeiotic analysis. Beacuse of the vastness of the field of historical and genetic linguistics, this book's compass has necessarily been limited to certain theoretical and methodological issues of supervening importance, and the reader will consequently find little discussion of the comparative method or of linguistic reconstruction."
Creo que valió la pena reproducir esta parte del Preface de Shapiro a causa de la riqueza de su obra, que entre otras cosas ha sido seminal como influencia para la producción de una de las mejores reflexiones, a mi entender, sobre la semiótica del mito, un intento más que atendible de James J. Liszka (_The semiotic of myth_ Bloomington: Indiana Univ. Press, 1989), por reunir lo más interesante del estructuralismo francés (la idea de VALOR saussureana), con la noción de INTERPRETANTE de la teoría de Peirce.
Suerte con la lectura,
Fernando Andacht
----------------------------------------------
Dr. Fernando Andacht
Tel/Fax. 005982 710 32 21
email: fatur@a...
Sarmiento 2698/apto. 501 Montevideo CP 11300 Uruguay
Subject: Desarrollos peirceanos
4
SOBRE TEXTO,
DISCURSO E INTERPRETANTE
(responde a: Subject: SEMIÓTICA
INDICIAL 24
Algunas contribuciones de Peirce y de
Sartre sobre el Interpretante (cuotas
extractas de "L'Algèbre des signes" R.Marty(1990), Collection "Foundations
of Semiotics", John Benjamins, Amsterdam/Philadelphie, 406 p.) :
La première est tirée de "Apology for pragmaticism" qui parut dans
The
Monist en l906 et est reproduite dans les Collected Papers (4-55l) :
"En outre, les
signes requièrent au moint deux quasi-esprits; un
quasi-émetteur et un quasi-interprète; et bien que ces deux soient en un
(c'est-à-dire soient un esprit) dans le signe lui-même, ils doivent
néanmoins être distingués. Dans le signe, ils sont, pour ainsi dire, soudés
."
Dans le même article on
lit une note de 4-552, au sujet du Phème
qui est un type de signe intervenant dans les graphes existentiels, selon
laquelle ces signes sont produits par la collaboration de deux parties au
sujet desquelles il précise :
" Ce sont deux corps de personnes, deux personnes, ou deux attitudes
mentales ou états d'une personne".
Dans le même paragraphe il précise encore que les deux parties collaborant
[dans le signe] seront appelées "le Graphiste et l'Interprète. Le
Graphiste
aura la responsabilité d'écrire chaque graphe originel et chacune des
additions à ce graphe .[ ...] L'interprète aura a faire les effacements et
les insertions au graphe que lui livre le Graphiste en accord avec les
'Permissions générales' déductibles des Conventions et ses propres buts
."
Dans un autre texte
(n°33 Annexe A) :
"Il y a
l'Interprétant Intentionnel, qui est une détermination
de l'esprit de l'émetteur; l'interprétant Efficace, qui est une
détermination de l'esprit de l'interprète; et l'Interprétant
Communicationnel, ou disons le Cominterprétant, qui est une détermination de
cet esprit dans lequel les esprits de l'émetteur et de l'interprète doivent
être fondus pour qu'une communication puisse avoir lieu ."
Enfin dans MS 793 (texte
nø67), Peirce précise, aprés avoir défini
le signe comme "medium pour la communication d'une forme" :
"Mais il est
nécessaire qu'il y ait deux, sinon trois,
quasi-esprits, c'est-à-dire des choses capables de déterminations variées en
ce qui concerne les formes du genre communiqué."
Jean Paul Sartre (1979:25 et passim) en répondant à une question de Michel
Sicard relative à la pluralité du sens et à la place qu'il accorde au public
dans la production de l'écriture:
"Je modifie les mots
en fonction de l'idée que j'ai de lui [le
public], c'est-à-dire de moi recevant ce que je veux écrire. Mais en même
temps c'est quelqu'un de beaucoup plus large, de beaucoup plus indéfini que
moi.[ ...] Il y a là évidemment une première notion du public qui est à
l'intérieur quasiment de l'oeuvre. C'est la première version : j'écris un
article pour mon public que je détermine à peu près d'aprés des milieux
sociaux, avec les interdits et les possibles
actuels.[ .. ]. Bref
il y a une première action du public sur l'oeuvre qui est en accord avec moi
: il lit les mots, il les retient ensemble comme je veux qu'il le fasse et
il donne aux mots le sens qui ressort des autres mots comme je désire qu'il
le fasse. La c'est un premier degré. Il y en a un second qui est le sens,
c'est-à-dire quelque chose qu'il met dans la phrase, dans la page, dans
l'oeuvre entière, qui n'est pas dite, parce qu'elle ne peut pas se dire."
Puis analysant l'exemple
de l'écriture de " une belle journée
d'automne" il conclut :
"Une belle journée
d'automne" , c'est à la fois ma journée et la
journée extérieure objective. Et le ciel est donné comme un mélange de ma
journée et de la journée objective : c'est un de ces concepts
subjectivo-objectifs qui sont une des caractéristiques du style, le
subjectif d'ailleurs étant une certaine forme de la pensée exprimée qui peut
aussi bien être objectif, c'est-à-dire que le subjectif est repris par
l'objectif."
Enfin répondant à une
question sur les risques de "déportation du
sens" :
"quand j'écris une
phrase, je ne pense pas que son sens soit
accessible au premier coup à tous les lecteurs. Il me suffit qu'il soit
accessible, c'est-à-dire qu'aprés un certain travail, on puisse y voir que
je ne l'ai pas caché, que je l'ai expliqué à ma façon. C'est essentiel, ce
sens total qui est mien et que le lecteur doit pouvoir saisir. Mais il y a
plus : les sens qui enveloppent ce premier sens, purement objectifs, ou
d'une subjectivité qui est reconstruite
par l'objectivité
et à
travers elle... De sorte que la phrase a des sens que je n'ai pas donnés,
que je ne connais pas et je sais quand j'écris que ces sens existent: je ne
fais rien pour les avoir, je sais qu'ils m'échappent mais je sais qu'ils
sont là."
Robert Marty
Subject: Desarrollos peirceanos
5
Rectificacion
En mi precedente mensaje seria mejor poner
"citas" en lugar de "cuotas",
aunque "cuotas" no sea tan extrano que puede parecer...-:)
Robert Marty
Subject: Desarrollos peirceanos
6
SOBRE TEXTO,
DISCURSO E INTERPRETANTE
bonjour,
L'exemple des tours de hanoi est particulièrement intéressant car
l'observation des actions (interprétant final) des expérimentateurs lors
de
la résolution de ce problème, permet de les situer dans leur ascension vers
le concept. Les dix classes de signes du treillis conviennent parfaitement
à ce positionnement cognitiviste.
La problématique des tours de Hanoi présente un autre intérêt car elle
introduit comme solution l'utilisation du concept de récursivité.
Ce concept formalisé génère une solution automatisable sous forme écrite.
Ci-dessous une illustration (la partie active du programme est de 8 lignes)
de l'assistance conceptuelle assistée par ordinateur sue ce thème.
Le programme avec 5 disques: (Copyright (c) 1984 - 2000 Prolog Development
Center A/S)
domains
loc =droite;milieu;gauche
predicates
hanoi(integer)
move(integer,loc,loc,loc)
inform(loc,loc)
clauses
hanoi(N):-
move(N,gauche,milieu,droite).
move(1,A,_,C):-
inform(A,C),
!.
move(N,A,B,C):-
N1=N-1,
move(N1,A,C,B),
inform(A,C),
move(N1,B,A,C).
inform(Loc1, Loc2):-
write("\ndéplacer le disque ", Loc1, " vers ", Loc2).
GOAL
hanoi(5).
Ce que le programme génère pour 5 disques : (virtuellement il n'y a pas de
mimitation au nombre de disques)
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque gauche vers milieu
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque milieu vers droite
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque gauche vers milieu
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque droite vers gauche
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque gauche vers milieu
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque milieu vers droite
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque droite vers gauche
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque milieu vers droite
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque gauche vers milieu
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque milieu vers droite
déplacer le disque gauche vers droiteyes
Vous pouvez télécharger un programme de résolution visuelle des tours de
hanoï à :
http://perso.wanadoo.fr/a/th/
Il me semble que les tours de hanoï sont plus axées sur l'illustration du
raisonnement ( information) et la construction du concept, que sur une
illustration communicationnelle. Dans ma recherche spéculative je distingue
le signe d'information et de communication.
http://perso.wanadoo.fr/a/a/Peirce/les_deux_signes2.htm
La figure 7.2.1.e6 (jointe) donne une idée d'une conception possible de
l'échange.
A cette conception si on applique la théorie de la communication de Bateson
on peut imaginer un niveau de signe réflexif dont l'objet est l'observation
des deux signes de la figure. Un deuxième concept issu du même paradigme de
la communication systémique, est celui de la boîte noire, qui fait dans un
premier temps l'impasse de la connaissance de la phénoménologie productrice
de l'action mais qui dans un deuxième temps la reconstitue par les signes
observables. Ce concept de BN est explicité par Peirce :(5.402) Il semble
donc que la règle pour atteindre le troisième degré de clarté dans la
compréhension peut se formuler de la manière suivante : considérer quels
sont les effets pratiques que nous pensons pouvoir êtres produits par
l'objet de notre conception. La conception de tous ces effets est la
conception complète de l'objet".
Cordialement
ARNAUD Gilles
Subject: Desarrollos peirceanos
7
SOBRE TEXTO,
DISCURSO E INTERPRETANTE
Bonjour,
Merci de tout ce travail concernant
les tours de HanoÏ.
Malheureusement, je n'ai pas le logiciel adequat pour faire fonctionner du
PROLOG.
(Malheureusement, aussi, je ne suis pas du tout informaticienne ! J'ai
appris un peu à programmer dans le temps, mais je n'ai jamais eu le temps
(ni la patience) de m'entretenir. Et si j'ai une formation aussi de
mathématicienne, c'est dans les spécialités algèbre, analyse, topologie,
donc rien à voir avec l'informatique).
En fait quand j'ai commencé à
travailler avec des informaticiens, la
première chose que j'ai apprise c'est qu'il y avait des tas de façons de
simuler le problème de la tour de HANOï, mais c'est vrai que je ne
connaissais pas celle-ci.
En fait ce que j'essaie de faire,
c'est de caractériser le
fonctionnement cognitif, à partir du langage. Je me suis finalement rabattue
sur le problème de la tour de Hanoï, tellement connu et tellement étudié,
simplement parce que cela permet plus aisément de s'ancrer dans le domaine
cognitif classique, pour pouvoir définir à partir de là un fonctionnement
cognitif contextualisé et donc beaucoup plus complexe. C'est la méthode
d'analyse des verbalisations qui m'intéresse -dans la mesure où elle me
permet de caractériser le cognitif.
D'après ce que vous dites je suis
très contente d'apprendre qu'il y
a effectivement un fondement théorique qui peut correspondre à ce que j'ai
pu caractériser à partir des verbalisations. Mais le problème qui reste
entier, c'est celui d'expliciter sur le plan pratique et méthodologique
comment caractériser tout cela à partir du texte (corpus verbal) produit par
les sujets simultanément à la résolution: par exemple à quel moment peut-on
dire qu'il y a concept, et lequel ? Avez-vous visité le site
http://www.uia.ac.be/webger/ger/cnts/proverb/
voir rubrique: /papers (Caron-Pargue & Fièvre)
où vous pouvez voir la façon dont je justifie mes analyses (je suis désolée,
c'est le seul endroit que j'ai, le site du LaCo étant en chantier)
Mes sujets ne voient pas la tour de Hanoï à plat mais d'une façon qui est
complétement mise en perspective (toutes les mises en perspective que je
peux trouver au niveau du langage, et dont je donne quelques critères sur ce
site)
(Vous pouvez voir aussi sur ce site avec l'article de Labat & al. que nous
pensons que la pensée humaine n'est généralement pas récursive du tout)
Ce qui me paraît intéressant dans
le document sur votre site, c'est
la possibilité de définir théoriquement et certainement pratiquement quand,
comment, et dans quelles conditions, quelque chose est mémorisé, ainsi que
de caractériser ce quelque chose. Le problème que j'ai alors c'est de savoir
quel en est le critère de reconnaissance (et pourquoi ?) afin de pouvoir
l'opérationnaliser dans un terrain que je connais, et de pouvoir le traduire
dans un autre langage (cad dans ma discipline).
Pouvez-vous me donner un exemple sur
un bout de mon protocole ?
Amicalement
Josiane
Subject: Desarrollos peirceanos
8
SOBRE TEXTO,
DISCURSO E INTERPRETANTE
Chers sémioticiens, Robert, et aussi
Juan,
Quelques mots pour dire que les
informations au sujet du 'phème',
m'ont beaucoup intéressées. Je ne connaissais pas du tout. J'y vois des
liens avec mes problèmes de connaissances contextualisées qui se
décontextualisent.
La première découverte de cette
nouvelle connaissance pourrait
correspondre au 'graphiste', 'interprétant intentionnel', et qui correspond
à une'détermination de l'esprit émetteur'.
Le cas où le sujet (qui résout le
problème) croira se reconnaître
(ou pas) pour utiliser cette connaissance, et est généralement amené à
effectuer quelques corrections - de l'ordre de ce qu'il sait faire - pour
retrouver - ou reconstruire - cette connaissance, pourrait correspondre à
'l'interprète', 'interprétant efficace', qui correspond à une 'détermination
de l'esprit d'interprète'
Le cas où la connaissance serait
décontextualisée correspondrait à
'l'interprétant communicationnel' , à une détermination dans laquelle les
deux esprits 'graphiste' et 'interprétant' seraient fondus, cad articulés.
effectivement, ce que permet la situation, ainsi que l'organisation des buts
(marqués dans les protocoles par des verbes modaux) joue un rôle.
A titre d''illustration, je prends un
exemple du problème de la tour
de hanoï, tel qu'il est apparu dans mes analyses, et que je reconstitue de
mémoire. (plus précisément ici il s'agit d'un des mécanismes qui
interviennent dans la construction de nouvelles règles de procédures - je ne
sais s'il est le plus adapté ici, mais il est assez simple à expliquer)
- à un premier niveau, le sujet apprend à bouger un disque lorsque celui-ci
est bloqué par un autre disque, situé soit sur le piton but, soit sur le
disque à déplacer.
- il y a blocage lorsque sur le piton but se trouvent deux disques (un
disque bloquant situé sur le disque qui bloque le piton). Pour résoudre la
situation, le sujet focalise son attention sur le piton but (et en même
temps sur le sous but = dégager le piton) : il se retrouve alors dans une
situation qu'il sait résoudre, à savoir un disque bloquant le disque à
déplacer. Mais il n'a pas pour autant appris à se débrouiller dans la
situation initiale
- Il lui reste à récupérer ce qu'il voulait faire initialement, et à
articuler d'une part ses buts, d'autre part les deux règles (blocage sur le
piton but et blocage sur le disque), avant de savoir se débrouiller
systématiquement dans ce genre de situation.
Mais ce que je trouve important c'est
que les deux 'graphiste' et
'interprète' sont le fait du même sujet producteur.
Je pense que l'utilisation qui en a
été faite dans la littérature
correspond à une simplification, cad au cas où le producteur et
l'interprète' sont des personnes différentes qui communiquent. D'où aussi le
foisonnement de modèles de production du langage ou de compréhension, et
très peu, quasiment pas, qui parlent à la fois de production et de
compréhension.
Je conviens que cette interprétation
soit à la communication, soit à
l'écriture, au style, etc.. sont certes légitimes. Mais c'est aussi cette
séparation des deux instances en deux individus distincts qui est à
l'origine des controverses dont nos discussions sont un témoignage.
Enfin, je remercie Juan pour son
initiative, et j'attends la suite.
Amicalement
Josiane
Subject: Desarrollos peirceanos
9
EL INTERPRETANTE
COMUNICATIVO
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
La intervención de Marty respecto de los INTERPRETANTES me ha resultado de
mucha utilidad, en especial por la mención que hace al INTERPRETANTE
COMUNICATIVO (con una referencia “nº33 Annexe A” que no poseo y que aun no
sé si se refiere a una cita que incorpora a su propio texto: L’Algèbre des
signes, o a alguna edición de la obra de Peirce; lo mismo me ocurre con la
cita siguiente: “MS 793 (texte no67)” sobre el “medium pour la
communication
d’une forme”; o sea, ¿estos textos está en “L’Algèbre des signes”?;
texto
que, lamentablemente, tampoco tengo).
Me interesa ese INTERPRETANTE COMUNICATIVO, por lo que traduzco la primera
referencia: “Está el Interpretante Intencional, que es una determinación de
la mente del emisor; el Interpretante Eficaz, que es una determinación de la
mente del intérprete; y el Interpretante Comunicativo o, digamos, el
Cominterpretante, que es una determinación de esa mente en la que las mentes
del emisor y del intérprete deben fundirse para que pueda tener lugar una
comunicación.”
Como DETERMINACIÓN de la mente de cada uno de los Interpretantes, admito
este término “determinación” de raigambre hegeliana (con quien Peirce
siempre mantuvo una dialéctica relación de amor-odio), en cuanto CONCRECIÓN
de ESE ASPECTO de las mentes de cada uno de los Interpretantes que se
refieren a la PRODUCCIÓN y a la INTERPRETACIÓN, respectivamente, de
determinada SEMIOSIS SUSTITUYENTE.
Un poco más me cuesta admitir la TERCERA MENTE, esa “en la que las mentes
del emisor y del intérprete deben fundirse”, porque en este contexto ya
hablamos de una entelequia en la que el término “mente” aporta su sentido
METAFÓRICO (y aquí, sí creo, con Josiane, que enturbia el problema), en
cuanto mente virtual: no pertenece a nadie en concreto, sino, como en un
diagrama de Venn, a la parte común a dos mentes (lo que NO ES UNA TERCERA
MENTE).
Y, prescindiendo de esta referencia a esta mente en la que las otras se
funden, esto es lo que me parece importante del concepto de INTERPRETANTE
COMUNICATIVO: cuando el INTERPRETANTE PRODUCTOR generó su semiosis
sustituyente aplicó DETERMINADAS FORMAS que tenía disponibles y las aplicó
según DETERMINADAS RELACIONES que también tenía disponibles (aparte de otras
formas y otras relaciones que también tenía disponibles pero que no aplicó).
Una parte de esas forma y de esas relaciones que aplicó efectivamente deberá
coincidir con las formas y las relaciones de las que el INTERPRETANTE
DESTINATARIO dispone para aplicar a la interpretación de tal semiosis
sustituyente y las aplica efectivamente, si no, no existiría un acuerdo
mínimo para comunicarse acerca de algo (el contrato simbólico implícito en
todo acto de comunicación o lo que la cita de Marty nos trae como
INTERPRETANTE COMUNICATIVO).
Pero el INTERPRETANTE DESTINATARIO dispone también de OTRAS RELACIONES que
puede aplicar para relacionar las formas propuestas en la semiosis
sustituyente y que no son las que proyectó el INTERPRETANTE PRODUCTOR, pero
que tienen que ser posibles entre las disponibilidades relacionales (la
capacidad de contextualización) ostentadas por determinada comunidad en
determinado momento histórico, como para que pueda utilizarlas uno de sus
integrantes.
El INTERPRETANTE DESTINATARIO dispone, además, de OTROS TÉRMINOS que,
posiblemente, hubiera preferido encontrar en la semiosis sustituyente en
lugar de encontrar los que aplicó el INTERPRETANTE PRODUCTOR, pero que
tienen que ser posibles entre las disponibilidades representacionales
(actualizar otras designaciones con otra historia de contextualización que
les proporciona otra carga semántica) ostentadas por determinada comunidad
en determinado momento histórico, como para que pueda utilizarlas uno de sus
integrantes.
EL CONJUNTO COMPARTIDO de términos y relaciones es lo que establece el grado
de comunicabilidad que se da entre los dos INTERPRETANTES en función de una
semiosis sustituyente compartida y tal es la utilización que hago de la
expresión INTERPRETANTE COMUNICATIVO. Ese conjunto compartido se aproxima a
los que M. Foucault denomina discursos producidos a partir de una misma
“FORMACIÓN DISCURSIVA” y a lo que en otros mensajes he planteado como
MUNDOS
SEMIÓTICOS POSIBLES compartidos.
En la medida en que tales términos y relaciones DIVERGEN, la producción de
la semiosis sustituyente y su interpretación también divergen. Es lo que
constituye la lucha política por instaurar una discursividad hegemónica;
lucha política destinada, a largo o corto plazo, al fracaso en beneficio de
la pluralidad ideológica: en una sociedad determinada y en un momento
determinado, el conjunto de los mundos semióticos posibles está
caracterizado por su INCONSISTENCIA, o sea, por la vigencia de lo
contradictorio (y esto no es metafísica, ya que, eventualmente, podría
probarse que no).
Todo esto nos lleva, como en un agregado relativamente marginal, a
reflexionar sobre la PASIVIDAD DEL REPRESENTAMEN. Es como decir que LAS
PROPUESTAS PERCEPTUALES (las semiosis sustituyentes) NO SIGNIFICAN, LAS
HACEN SIGNIFICATIVAS LOS INTERPRETANTES. En una tarea de investigación, en
la que se está tratando de explicar las características según las que se
produce la significación de determinado fenómeno social, es importante no
caer en esta especie de ANIMISMO de las formas significantes, cualquiera sea
su calidad: icónica, indicial o simbólica (y confieso que la fuerza de la
inercia de las “maneras de hablar” es tan fuerte que habré caído varias o
muchas veces en ese animismo y lo peor es que, aunque trataré de evitarlo,
seguiré cayendo), y HABÍA ANIMISMO en el concepto de TERCERA MENTE o MENTE
POR FUSIÓN DE MENTES. Cuando hablo de ANIMISMO no lo digo en sentido
metafórico, sino con una pretensión técnicamente descriptiva del fenómeno
metasemiótico, en mi concepto desviante, del que pretendo dar cuenta. Un
discurso, la página de un libro, una imagen, una pieza musical, etc., no
“hablan”, no son “elocuentes”, no “dicen” nada; en definitiva, NO
SIGNIFICAN: lo que tiene capacidad para significar, o sea, para hacer
significativo A ALGO, es el interpretante que lo produce y/o el que lo
interpreta. O sea, SIN INTERPRETANTE NO HAY SIGNIFICADO; ahora bien, EN LO
QUE INTERVIENE EL INTERPRETANTE TODO ES SIGNIFICATIVO.
Cordialmente.
Juan Magariños de Morentin
Subject: Desarrollos peirceanos
10
EL INTERPRETANTE
COMUNICATIVO
Todos los textos de peirce citados salen
de la agrupacion de 76 textos de
Peirce poco mas o menos definitorios del signo triadico encontrados por
entre los Collected Papers, News elements of Mathematics, Letters to lady
Welby y Manuscritos, son clasificados por fecha conocida o estimada por el
Robin (el catalogo de los MS). Los que interesan mucho a Juan-Antonio son
los n° 33 y 67, pero estoy seguro de que muchos otros textos le interesaran
y van a interesar a muchos de nuestros amigos y amigas.
Aqui los textos originales :
http://www.univ-perp.fr/see/rch/lts/marty/76defeng.htm
Aqui las traducciones al francés :
http://www.univ-perp.fr/see/rch/lts/marty/76-fr.htm
Estos textos son seguidos de un analisis que demuestra dos concepciones
sucesivas del signo triadico segun Peirce :la primera, antes de 1905,
llamada por mi "global triadica" y la segunda, que llamo "analitica
triadica",mas fina que la primera, despues de esta fecha.
Si alguien tiene gusto para traducir estos textos al espanol....
Robert Marty
Subject: Desarrollos peirceanos
11
EL INTERPRETANTE
COMUNICATIVO
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
a mí también me interesó la intervención de Marty (18-02-01) y Magariños
(28-02-01) respecto de los INTERPRETANTES y en especial el
"conflictivo"
concepto de INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE.
Aclaro que no me preocupa una cuestión nominalista ni de exégesis de las
obras de Peirce o Sarte ya que mi interés principal es fundamentalmente
verificar hasta qué punto estos planteos pueden ser útiles en una
investigación en teoría del diseño o en la práctica profesional de esos
campos.
Me permitiré por lo tanto algún razonamiento práctico, de alguna manera
reduccionista, utilitario y ecléctico, tomando cierta distancia de la
propuesta original ...de ser necesario o conveniente a mis objetivos.
Como ya lo he planteado en otros escritos, utilizaré la terminología
propuesta por Magariños (1984 [1991]:139-195): "Forma",
"Existencia" y
"Valor" (independientemente de la validez o no de literalidad
descriptiva de
estos términos) para tomar distancia táctica de la propuesta peirciana y
descartando momentáneamente toda otra problemática no semiótica que también
hace a la comunicación en tanto signo más que complejo.
Básicamente, me parece que el concepto de INTERPRETANTE COMUNICATIVO o
COMINTERPRETANTE recorta el aspecto 'existencial' de una comunicación
cualquiera... lo cuál puede tener su conveniencia práctica como concepto
diferencial... y porque... no hay 'dos' sin 'tres'...!!!
O sea, la Comunicación es el resultado de la interacción de tres
interpretantes.
Vayamos por partes (...como dijo el descuartizador...)
En toda 'comunicación' tendríamos siempre tres aspectos a considerar
(...como mínimo!!!, agregaría seguramente Charles S.) ...teniendo en cuenta
el texto propuesto por Marty (el pequeño fragmento en discusión) y
re-escribiendo (por gusto nomás) el desarrollo posterior de Magariños, estos
tres aspectos serían:
1. "Forma": por un lado, la pretención, determinación, deseo
consciente o
inconsciente del emisor con una producción o propuesta comunicativa que
podemos evaluar como INTERPRETANTE (de su horizonte semiótico y bautizar
como) INTENCIONAL (aunque algunos emisores no puedan hacerse cargo de la
intención...) o INTERPRETANTE PRODUCTOR, en tanto 'primeridad'. En
principio, y por estar considerando el conjunto de los tres aspectos de la
comunicación, el INTERPRETANTE PRODUCTOR es 'pura forma posibilitante' a ser
interpretada (si bien constituida por 'valores');
3. "Valor": por otro lado y 'en el extremo opuesto', el INTERPRETANTE
EFICAZ
o INTERPRETANTE DESTINATARIO en tanto 'terceridad' (la literalidad de
'eficaz' supongo que deberá ser tomada como eufemismo por una cantidad
amplia de otros calificativos... según el caso; aquí sí podría ser
conveniente una terminología que no aventure resultados), en tanto operación
(o recorte interpretativo) realizada por el receptor desde su propio
horizonte semiótico (independiente del emisor)... 'puro valor
interpretativo' de esa forma dada.
...y 'en el medio'...
2. "Existencia": ...qui ci sta er busillis!!!...
Es el lugar lógico del INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE.
Dejemos de lado por un momento la descripción que cita Marty, Magariños
también apunta a que algunos términos podrían ser discutidos...
Pero... lo único que 'existe' como COMUNICACION entre ese emisor y receptor
supuestos (respectivamente Forma y Valor) es aquella parte de ambos
constructos (Existencia) que coincide en "formas y relaciones".
Lo producido y lo recibido (Valor) es consecuencia de una competencia
'interna' y 'externa' (Forma) así como de una capacidad de producción y
contextualización (Existencia) en ambos participantes.
Lo que el emisor logra hacer llegar como comunicación 'existente',
'concreta', (...nunca diría 'real') al receptor no es el valor
asignado/construido de la semiosis sustituyente producida por el
INTERPRETANTE PRODUCTOR sino aquella parte de su constructo (formas y
relaciones) que "el INTERPRETANTE
DESTINATARIO dispone para aplicar a la interpretación de tal semiosis
sustituyente".
Así, por ser 'primeridad', el INTERPRETANTE PRODUCTOR queda excluido del
INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE, en tanto 'segundidad'.
A su vez, el INTERPRETANTE DESTINATARIO al asignarle valor sólo a aquellas
formas y relaciones de que dispone para aplicar a la interpretación de la
semiosis sustituyente propuesta, queda excluído de una parte de esa
'primeridad' posibilitante. Para el la semiosis sustituyente propuesta por
el INTERPRETANTE PRODUCTOR podrá ser en alguna medida (mayor o menor) sólo
una "atribucion" de 'pura forma'.
El INTERPRETANTE DESTINATARIO tiene acceso directo al INTERPRETANTE
COMUNICATIVO (en tanto "objeto inmediato") pero no al INTERPRETANTE
PRODUCTOR. Será necesario un tiempo segundo en el cuál se cambiarán roles
para llegar a una primera "superación" ...y asi, al infinito...
El INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE surge así como un 'aspecto
dinámico' (en tanto "objeto dinámico", segundidad) a ser construido
por los
otros dos interpretantes a lo largo de un tiempo indefinido.
Con esta u otra interpretación... me parece que este concepto puede tener
una cierta eficacia...
Al fin y al cabo... mutatis mutandis... el texto citado por Marty 'sólo'
contiene algunos términos 'conflictivos'... pero me parece que no difiere,
en lo fundamental, de lo que he tratado de explicar...
y a pesar de todo... no quiero decir que la forma no importa... todo lo
contrario!!!
Cordialmente
Claudio Guerri
Subject: Desarrollos peirceanos
12
EL INTERPRETANTE
COMUNICATIVO
Chers sémioticiens, Cher Juan,
Tout à fait d'accord avec Juan, pour préciser et caler la terminologie. La
notion d'interprétant (plutôt que esprit, ou mente) convient mieux, il me
semble. Quoi que les termes 'mind' (Peirce est en anglais, à l'origine ?),
esprit, et mente ne soient pas équivalents. De toute façon dans les textes
envoyés par Robert Marty, il y a l'interprétant intentionnel, l'interprétant
efficace, et l'interprétant communicationnel. Il parle aussi de 'deux corps
de personnes, deux personnes, ou deux attitudes mentales ou états d'une
personne'.
La traduction en termes de semiosis substituantes/ substituées est
intéressante, mais la notion d'interprétant lui est-elle intégrée ? sinon
Juan, c'est un peu à toi-même que tu fais ta propre critique au sujet de
l'animisme...
O.K. pour dire que les relations prises en compte par l'interprétant
destinataire (interprétant efficace), ne sont pas les mêmes que celles qui
sont prises en compte par l'interprétant producteur (intentionnel), mais
qu'elles sont possibles parmi les relations disponibles. Mais d'un point de
vue cognitif comment caractériser les relations disponibles, et comment
expliquer le choix de certaines parmi celles-ci ? à partir de quand, ou dans
quelles conditions sont-elles disponibles pour une situation donnée ?
O.K. pour dire qu'interviennent d'autres éléments, spécifiques à la
semiosis substituante.
En termes de mémoire, on pourrait dire que la sémiotisation implique d'une
part la récupération d'une connaissance déjà stockée en mémoire (à long
terme), mais que en la récupérant, elle est modifiée du fait d'une possible
prise d'informations externes et aussi du fait des contraintes liées au
langage (ou à tout autre media représentatif).
C'est sûr que la présence d'éléments communs entre les deux premiers
interprétants constitue une étape vers l'interprétant communicatif, mais je
ne crois qu'il suffise de dire cela ; il doit sans doute une véritable
articulation entre les visées respectives des différents interprétants.
Juan, peux-tu me rappeler la référence de Foucault concernant les
'formations discursives' ?
Si cette articulation ne se fait en situation de résolution de problème,
l'apprentissage stationne, et le sujet 'tourne en rond', avec des tours et
des détours.
De toute façon la description en termes de représentamen n'est pas non plus
suffisante, il faudrait arriver à l'expliciter en terme de traitement de
l'information. Peut-être y a -t- il une direction possible en reliant le
representamen et l'interprétant à un guidage attentionnel (il me semble
avoir compris qu'à partir de Peirce c'était possible, mais je n'ai pas
encore compris comment)
Peut-être y a -t-il des pistes du côté des philosophes ? Je pense à Kant
(cf la synthèse des phénomènes- in critique de la raison pure), et à
Piaget
qui s'en est inspiré avec la coordination des points de vue, et aussi son
'abstraction réfléchissante'. Mais je ne suis pas philosophe de
formation..., il y en a peut-être parmi les sémioticiens ?
Merci Juan, de t'attaquer à ce problème.
Amicalement à tous.
Josiane
Subject: Desarrollos peirceanos
13
TRES EN UNO
Solo voy a tratar de la metafora de la
fusion de las quasi-mentes del emisor
y del interprete en el cominterpretant
El texto original es en un borrador de una carta a lady Welby (Semiotics and
Significs, p.196. Letter to Lady Welby (Draft) dated "1906 March
9") del
cual sale tambien el texto n°33 (es decir que no lo encontraran en los 76
textos que he recogido). Desgraciadamente no lo tengo ahora , solo puedo
reproducir la traduccion al francés tal que la encontraran en L'algèbre des
signes ; esta cita es mas completa:
"Il y a l'Interprétant Intentionnel, qui est une détermination de
l'esprit
de l'émetteur, l'Interprétant Efficace, qui est une détermination de
l'esprit de l'interprète; et l'Interprétant Communicationnel
(Communicational), ou disons le Cominterprétant, qui est une détermination
de cet esprit dans lequel les esprits de l'émetteur et de l'interprète
doivent être fusionnés pour que la communication puisse avoir lieu. Cet
esprit peut être appelé le "commens". Il consiste dans tout ce qui
est, et
doit être bien compris entre l'émetteur et l'interprète dès le é‚but,
pour
que le signe en question remplisse sa fonction."
Hablamos ahora de esta fusion ; mi concepcion es la siguiente :
las determinaciones de las mentes del emisor y del interprete son dos
instancias particulares de este "cominterpretante" o "commens"
(= un ser
comun)que es un "ya-aqui", una micro-institucion social que debe
existir
NECESARIAMENTE antes que empieza la comunicacion para que puede haber lugar.
Es decir que la relacion de este "commens" con las dichas
determinaciones es
una relacion de universal a particular o mejor a particulares. El termino
"fusion" es para mi una metafora empleada por Peirce que no tenia a
disposicion el concepto dialectico de institucion tal que se practica hoy
por ejemplo por entre los sociologos del analisis institucional (cf R.
Lourau, L'analyse institutionnelle, Editions de Minuit, 1970). Por eso, las
tres quasi-mentes de las cuales se habla son evidentemente las del emisor y
del interprete y la tercera es de otro nivel, es una construccion social,
colectiva, un ens rationis (ser de razon) que determina a las mentes
individuales en cuanto a sus interpretaciones de las percepciones del mundo
exterior es decir que determina los objetos de los signos percibidos. Pienso
que se tiene que decir "quasi-mente" porque no se habla de la mente
tal que
està sino de una mente considerada respecto a su interiorizacion de la
institucion social existente que esta surdeterminandola. Esta concepcion
dialectica-constructivista permite de pensar en otros conceptos como los de
"violencia simbolica" y "inculcacion pegdagogica" de
Bourdieu o de "Sociedad
Maestra" de Lourau y después, los fenomenos diacronicos pueden ser
considerados de modo mas adecuado.
Por eso se puede decir que estas quasi-mentes son "tres en una", la
"una"
siendo una de las tres que es esta quasi-mente colectiva. Es una relacion
triadica (degenerada al primer grado!)
saludos a todos y a todas.
Subject: Desarrollos peirceanos
14
CLAUDIO
GUERRI
Cher Juan, Robert, Claudio,
Merci de vos messages, tout devient plus clair. Evidemment si 'valeur' ne
renvoie pas à Saussure...
Par ailleurs, j'avais bien compris que Peirce se référait à une situation
de communication. Et jamais je n'ai pensé qu'il y avait des esprits qui se
fondaient en un seul. Simplement je pensais à des états mentaux successifs
chez un même individu (pas immédiatement successifs, mais qui marquent des
étapes successives dans l'acquisition d'expertise), le premier contextualisé
d'une façon, le second contextualisé d'une autre façon, puis une
articulation qui s'effectue entre les deux et qui libère l'expertise en
question du contexte, cad qui le décontextualise.
Je voyais un lien avec le texte qu'avait présenté Robert. Mais je comprend
très bien que ma lecture a dépassé très largement ce qu'a dit Peirce
(pourtant certains parlent de langage intérieur - pas moi, je suis contre -
et on pouvait alors considérer une communication entre l'émetteur et le
récepteur intérieur....... Stop, je m'arrête).
Je comprends très bien aussi que Peirce n'a rien à voir avec mon problème
de contextualisation vs décontextualisation. Cela n'a pas d'importance
d'ailleurs, car de toute façon, mon but c'est de modéliser ce processus, ce
qui ne devrait pas être difficile - étant donné ce que j'ai déjà-, dès que
j'aurais pu systématiser la façon de caractériser un certain niveau de
contexte (cf les autres discussions texte vs discours. De plus, je dis 'un
certain niveau' car je sais très bien que l'on a pas tout, mais cela me suffit).
Claudio ....(je ne vais pas encore continuer...! merci de ta réaction)...,
en fait puisque tu sembles travailler aussi d'un point de vue cognitif dans
le domaine de l'architecture, normalement mon approche de la signification
contextualisée vs non contextualisée devrait t'intéresser. Outre le travail
actuel que je fais sur les verbalisations simultanées à une résolution de
problème, j'ai fait mon doctorat et quelques autres travaux sur le problème
de la représentation graphique de solides géométriques et d'instructions
pour faire un noeud. Je te donne ci-après quelques références que
normalement tu devrais être à même de trouver.
J. Caron-Pargue (1987). Analyse d'instructions graphiques pour faire un
noeud. La filiation des significations dans des dessins d'enfants. Archives
de Psychologie, 55, 153-173
( cf. aussi l'introduction pp 99-104 dans le même numéro - c'est un recueil
d'articles que j'avais organisé)
J. Caron-Pargue (1992). A functional analysis of decomposition and
integration in children's cylinder drawing. British Journal of Developmental
Psychology, 10, 51-69.
Dans ces deux articles tu peux trouver des exemples de contextualisation et
décontextualisation, analogues à ceux que je cherche à mettre en forme dans
les stratégies de résolution de problème (moi aussi, je cherche à faire
quelque chose de pratique, d'opérationnel)
Par ailleurs, je te donne également une autre référence, qui explicite ce
qui avait été un des points de départ de mon doctorat.
J. Caron-Pargue (1989). Is pictorial space "perceived" as real
space ?
Behavioral and Brain Sciences, 12(1), 75-76
(Il s'agit d'une discussion de l'article de Deregowski 'Real space and
represented space : Cross-cultural perspectives', qui tu le sais peut-être a
pas mal travaillé sur des problèmes de représentation de l'espace, et de
solides complexes).
Voilà, c'est tout ce que j'ai à dire pour, je l'espère, clore cet épisode.
En tout cas merci de vos textes.
Amicalement
Josiane
Si bien están vinculados al desarrollo de la SEMIÓTICA INDICIAL, hay en ese apartado: SEMIÓTICA INDICIAL; PRIMERA PARTE, algunos mensajes que sitúan una interesante discusión peirceana. Los dejo allí, pero comento que se trata de los mensajes 28 a 34, en especial los relativos a la discusión entre Joëlle Réthoré y Josiane Caron-Pargue. |
Subject: Desarrollos peirceanos
15
SEMIOSIS
SUSTITUYENTE - SEMIOSIS SUSTITUIDA - OBJETO SEMIÓTICO
Estimadas/os
SEMIOTICIANS:
Hoy regreso a un tema fundamentalmente peirceano, si bien en su comprensión
intervienen algunas reflexiones que son una transformación de las propuestas
saussureanas. Pese a la aparente antinomia, nunca he considerado que Saussure y
Peirce hayan elaborado concepciones incompatibles. Y como siempre, el tema que
propongo (no por primera vez, pero sí tratando de ir consolidándolo) está
vinculado tanto a su implementación como METODOLOGÍA DE ANÁLISIS EN LA
EXPLICACIÓN DE LA PRODUCCIÓN, CIRCULACIÓN Y TRANSFORMACIÓN DE LA
SIGNIFICACIÓN,
como a su exploración en función de las distintas SEMIOSIS SOCIALES vigentes
en
determinada sociedad, sean éstas ICÓNICAS, INDICIALES o SIMBÓLICAS. Y,
también
como siempre, no se considere que afirmo lo que escribo desde ningún
dogmatismo, sino como aporte tentativo a la reflexión de todos, incluyéndome
en
esa totalidad.
En principio, suelen utilizarse, en SEMIÓTICA, tres expresiones que no son
intercambiables, sino que cada una se refiere a un aspecto determinado de la
INTERRELACIÓN SEMIÓTICA que produce el conocimiento e, incluso, a un estado
determinado en el progreso del SIGNO hacia su eficacia específica. Son las
expresiones "SEMIOSIS SUSTITUYENTE", "SEMIOSIS SUSTITUIDA" y
"OBJETO
SEMIÓTICO". En especial, en esta oportunidad, quisiera proponer algunas
reflexiones acerca de la diferencia y proximidad entre las dos últimas
expresiones: "SEMIOSIS SUSTITUIDA" y "OBJETO SEMIÓTICO".
Cierto que estas últimas no tienen sentido sino es en función de la SEMIOSIS
SUSTITUYENTE en cuanto esta semiosis es el INSTRUMENTO OPERATIVO que, PERCIBIDO
SENSORIALMENTE e INTERPRETADO DESDE ALGUNA MENTE, da lugar a la producción de
la SEMIOSIS SUSTITUIDA y del OBJETO SEMIÓTICO.
Me interesa destacar el carácter de INSTRUMENTO OPERATIVO que le atribuyo a la
SEMIOSIS SUSTITUYENTE. Podéis tener en cuenta que LA PÁGINA QUE ESTÁIS
LEYENDO
es una SEMIOSIS SUSTITUYENTE, como lo es una exhibición en un museo o los
objetos situados tras la vidriera (o escaparate) de un comercio, etc. Son
OPERATIVOS porque CONSTRUYEN (y ésta es su operatividad) la idea y/o el
concepto y/o el significado de OTRA COSA y, por eso, son SUSTITUYENTES de algo
que es DISTINTO de lo que se está percibiendo e interpretando.
Vamos a explorar hasta qué punto puede ser METODOLÓGICAMENTE ÚTIL y estar
TEÓRICAMENTE BIEN FUNDAMENTADO considerar que el OBJETO SEMIÓTICO es cualquier
ente o fenómeno con el significado que las semiosis sustituyentes que
circularon en la sociedad en la que cada intérprete vive LE HAN ATRIBUIDO;
exactamente así, dicho EN PASADO, ya que usaríamos "OBJETO
SEMIÓTICO" para
referirnos a lo que sabemos acerca de algo en algún momento en el que no
estamos incrementando nuestro conocimiento acerca de él, o sea, en un momento
en el que no lo consideramos como lo que está siendo sustituido por alguna
SEMIOSIS SUSTITUYENTE, sino que ya lo ha sido HISTÓRICAMENTE. Pido un poco de
paciencia, más allá de la apariencia de trabalenguas que pueden adoptar
algunas
de estas expresiones. El OBJETO SEMIÓTICO es cualquier objeto del mundo tal
como nos lo han enseñado a ver en determinado momento.
La utilidad metodológica de diferenciar entre el OBJETO SEMIÓTICO y la
SEMIOSIS
SUSTITUIDA es que permite identificar a esta última como LO NUEVO que podemos
conocer de ese objeto porque ESTAMOS PERCIBIENDO, así, dicho EN UN PRESENTE
CONTINUO, una SEMIOSIS SUSTITUYENTE que le añade algo, lo construye de otro
modo, transforma su significado de modo que ya no es el anterior sino otro
diferente. O sea, la SEMIOSIS SUSTITUIDA es un nuevo modo de ver y de
interpretar al OBJETO SEMIÓTICO; o sea, es cualquier objeto del mundo al que se
lo construye, se lo ve, se lo interpreta desde otra SEMIOSIS SUSTITUYENTE que,
por tanto, LE ATRIBUYE UN NUEVO SIGNIFICADO.
Pero, ¿qué es lo que hace que esa SEMIOSIS SUSTITUYENTE sea OTRA y no ya
aquella con la que históricamente (aunque sea la historia que media entre el
tiempo de lectura de un párrafo y el del otro párrafo que le sigue, cuando el
cambio justifica que se hable de "historia") se había construido el
significado
de lo que habíamos llegado a conocer? Esa alteridad de la SEMIOSIS SUSTITUYENTE
consiste, de modo necesario y suficiente, en una TRANSFORMACIÓN DE LA SINTAXIS
con la que se relacionaban los signos que constituían cada uno de los contextos
de la precedente (o de cada una de las precedentes) SEMIOSIS SUSTITUYENTE(S).
Pero la SINTAXIS es la réplica o materialización del VALOR del signo en su
respectivo sistema, y este concepto de "valor" es el que constituye en
científica a la lingüística saussureana.
Saussure no quiso entrar en el estudio del habla; todo lo que después se
desarrolló en la pragmática. Por eso no estudia el cambio, sino la situación
(una diacronía es el resultado de la transformación identificable entre dos
sincronías). Si aceptamos la visión acerca del INTERPRETANTE que propone
Peirce
(y en la que se basa todo lo que vengo diciendo) podemos explicar el cambio, no
sólo EN EL SISTEMA DE SIGNOS desde el que se construye DIFERENCIALMENTE cada
contexto de SEMIOSIS SUSTITUYENTE, sino en el significado que adquieren LOS
FENÓMENOS DEL MUNDO (significado que los constituye a su vez en SIGNOS de
algún
sistema); en cuanto HAN ADQUIRIDO los significados que les construyó
determinada SEMIOSIS SUSTITUYENTE los podemos identificar como OBJETOS
SEMIÓTICOS, o sea, fenómenos semantizados. En cuanto, por la eficacia de (la
sintaxis de) cada SEMIOSIS SUSTITUYENTE, tales fenómenos del mundo modifican el
significado que tenían anteriormente y en cuanto el INTÉRPRETE está
elaborando
esa propuesta nueva de significado, al objeto que ese intérprete está
interpretando es al que podemos denominar "SEMIOSIS SUSTITUIDA".
Ya sé que todavía quedan aspectos por aclarar, pero voy a sintetizar lo dicho
hasta aquí:
Una SEMIOSIS SUSTITUYENTE es un contexto de signos, vigente en determinada
sociedad, que, en virtud de la SINTAXIS que relaciona a los signos
constitutivos de tal contexto, SE APLICA A ALGO DIFERENTE de ella misma,
atribuyéndole de ese modo un determinado significado.
Un OBJETO SEMIÓTICO es una entidad o fenómeno del mundo que, en determinado
momento de determinada sociedad, HA ADQUIRIDO UN DETERMINADO SIGNIFICADO por la
acción eficaz de una SEMIOSIS SUSTITUYENTE que se lo atribuye, en la mente de
determinado intérprete.
Una SEMIOSIS SUSTITUIDA es EL SIGNIFICADO MODIFICADO de una entidad o fenómeno
del mundo, que está siendo producido por una SEMIOSIS SUSTITUYENTE al
constituirse en SIGNO de esa entidad o fenómeno del mundo. Toda SEMIOSIS
SUSTITUIDA está destinada necesariamente a transformarse en un OBJETO
SEMIÓTICO, en cuanto ya queda admitida como la significación (que ha entrado
en
la historia) de determinada entidad o fenómeno del mundo; hasta que una nueva
SEMIOSIS SUSTITUYENTE sea capaz de atribuirle un nuevo significado, con lo que
se constituye en otra SEMIOSIS SUSTITUIDA que, en cuanto socialmente
reproducible, pasa a ser un OBJETO SEMIÓTICO histórico hasta que una nueva
SEMIOSIS SUSTITUYENTE genere otra SEMIOSIS SUSTITUIDA en cuanto nuevo objeto de
conocimiento para la mente de un intérprete.
La base peirceana de esta reflexión puede encontrase en la RELATIVA
correspondencia entre:
1/ SEMIOSIS SUSTITUYENTE e INTERPRETANTE INMEDIATO, en cuanto el esquema que
actualiza al signo (o conjunto de signos) en la mente del intérprete (o sea, su
eficacia representativa);
2/ SEMIOSIS SUSTITUIDA e INTERPRETANTE DINÁMICO, en cuanto el efecto
efectivamente producido en la mente por el signo (o sea, el nuevo significado);
3/ OBJETO SEMIÓTICO e INTERPRETANTE NORMAL (o ÚLTIMO o FINAL), en cuanto el
efecto que se producirá en la mente por el signo, después de suficiente
desarrollo del pensamiento (o sea, el significado histórico).
Cordialmente.
Juan Magariños de Morentin
Desarrollos peirceanos 16
SEMIOSIS
SUSTITUYENTE - SEMIOSIS SUSTITUIDA - OBJETO SEMIÓTICO
Estimado Juan:
Su propuesta de SEMIOSIS SUSTITUYENTE, SEMIOSIS SUSTITUIDA y OBJETO
SEMIOTICO es felizmente coincidente con la idea de JUICIOS SEMIOTICOS Y
JUICIOS FACTUALES (además de los asertos) que desarrolla Eco en su Tratado
de Semiótica General. Efectivamente, Eco señala que "...llamamos
SEMIOTICO a
un juicio que predica de un contenido determinado las marcas semánticas que
ya le ha atribuido un código preestablecido; y llamamos FACTUAL a un juicio
que predica de un contenido determinado marcas semánticas que no le haya
atribuido previamente el código".
Si por SEMIOSIS debo entender "el proceso mediante el cual algo se
convierte
en signo", entonces se habla no de predicados, sino de la idea puntual o
contenido conocido (a veces referencial) puesta en relación por alguien con
un significante determinado y que puede cambiar (el significante) cuando
esta idea sufre un cambio, y por lo tanto ya estamos hablando prácticamente
de otro signo?
Cordialmente,
Norman Ahumada
Desarrollos peirceanos 17
Grupo de Estudios
Peirceanos
http://www.unav.es/gep/
Cordialmente,
Eduardo
Desarrollos peirceanos 19
OBJETO PEIRCEANO
Mensaje 2097
De: Norman Ahumada
Fecha:
Mar Jun 11, 2002 4:50 pm
Desarrollos peirceanos 19
OBJETO PEIRCEANO
Gastón:
Uno de
los que más me ayudó a aclarar el concepto de 'objeto' peirciano
fue
Umberto Eco en su Tratado de Semiótica General. En la misma
obra establece
la posibilidad de que un objeto tenga o no un
referente, lo que nos lleva a
deducir la diferencia entre ambos.
Si tomamos la idea de 'objeto' como una
unidad cultural, se nos
evidenciará aún más lo innecesario del referente
para la
existencia del 'objeto'.
En alguna medida, Charles Morris también
ayuda a establecer esta diferencia
con sus 'designatum' y 'denotatum': el primero es un 'objeto' sin referente
(como la
idea universal de 'madre', que no corresponde a ninguna mujer
en
particular); el segundo es un 'objeto' CON un referente
concreto (como la
idea o recuerdo de una madre en particular, la
mía, por ejemplo). En otras
palabras, se habla de conjuntos, en
el primer caso, y de miembros del
conjunto, en el segundo.
No
fue muy profundo lo que te escribí, pero es un punto de
partida.
Cordialmente,
Norman Ahumada
Desarrollos peirceanos 20
OBJETO PEIRCEANO
Estimados
compañeros:
No estoy recibiendo mensajes.
He recibido varios
errores topmail.
Si alguien me ha enviado un mensaje y no he
respondido,
ha sido porque no lo he recibido.
Quisiera saber
si algún miembro de Semioticians
tiene traducido al español las
76 definiciones
de signo de Peirce propuestas por Robert
Marty.
Mi ingles es muy deficiente y mi francés es nulo.
Si
alguien tiene ese material y me lo suministra,
se lo agradecería
muchísimo.
Un cordial saludo,
Francisco
Umpiérrez
Desarrollos peirceanos 21
OBJETO PEIRCEANO
Estimado
FRancisco:
tengo un libro de Claude Marty y Robert Marty "La
semiótica, 99
respuestas" publicado por Edicial en 1995. No sé si ese es el
que
aludes ¿cómo podría enviártelo (una copia, of course)?, yo estoy
en
Salta, norte de Argentina! Cariños, Susana
Desarrollos peirceanos 22
OBJETO PEIRCEANO
Aqui esta el libro
(en forma hipertextual):
http://www.univ-perp.fr/see/rch/lts/marty/accesosp.htm
y
tambien las 76 definiciones del signo por Peirce en Inglés y mi
analisis
traducida al castellano por Sergio CAGGIANO, Eleonora
LANGARD, Paula
MORABES, Mariana SPERONI, supervision María del
Carmen SAINT-PIERRE, Juán
Magariños de Morentin siendo a la
iniciativa del todo.
Desarrollos peirceanos 23
OBJETO PEIRCEANO
Chers collègues,
Je ne suis pas certaine de vous avoir informés de
la publication par les
Presses Universitaires de Perpignan d'un
ouvrage qui constitue les actes du
colloque organisé par nous en
juin 2001 à Canet en Roussillon.
Vient de paraître aux Presses
Universitaires de Perpignan:
SEMIOTIQUE PEIRCIENNE / ETAT DES
LIEUX
Actes du colloque international du 27 au 30 juin
2001
Textes réunis par Tony Jappy et Joëlle Réthoré
Un
volume de 175 pages,
Prix public 13 euros, frais de port 3,20
euros
Commandes à adresser à :
Presses Universitaires de
Perpignan,
52, avenue de Villeneuve,
66860 Perpignan
Cedex
Règlements à adresser à l'ordre de :
Mme le
Régisseur des Presses Universitaires de
Perpignan
L'ouvrage rassemble les contributions en
français ou en traduction
française de sémioticiens français ou
étrangers (Brésil, Maroc, Etats-Unis)
ayant participé au colloque
international du même nom qui s'est tenu à
Canet-en-Roussillon du
27 au 30 juin 2001. Les textes réunis permettront au
lecteur de
retrouver dans le cadre de la sémiotique peircienne l'état
actuel
de cette pensée dans des domaines disciplinaires variés:
la
psychiatrie et la psychanalyse ; les sciences du langage ; la
pédagogie ;
l'art, la littérature et la musique.
Sommaire
:
Claudine Normand (U. de Paris 9) : "Souvenirs de la table
ronde"
Pierre Delion (Centre hospitalier d'Angers) : "Mécanismes
autistiques et
modélisation sémiotique peircienne"
Michel
Balat (U. de Perpignan) : "Autour de la sémiose"
Elmehdi
Kaddhouri (U. d'Oudja, Maroc) : "Les récits de rêve
de
l'inscription à l'interprétation"
Joëlle Réthoré (U. de
Perpignan) : "Le sens du langage versus le non sens
des langues :
iconicité versus arbitrarité"
Alain Ducron (Perpignan) :
"L'élève-auteur : un sujet à la source d'une
communauté
sémiotique"
Joëlle Cordesse (Perpignan) : "Pour une approche
anthropologique de la
pédagogie des langues et de la formation"
Tony Jappy (U.
Perpignan) : "Propos sur l'allégorie"
Francesca Caruana (U de
Toulouse-Le-Mirail) : "Art-chaïque, sujet de
modernité"
Marilia Laboissière (U. de
Sao Paolo, Brésil) : "La musique, un complexe
de
significations"
Catherine Darnaudet-Rabier (Perpignan) : "A
propos de la réception de
l'oeuvre de Jean Forton"
Robert E.
Innis (U. de Massachusetts, Lowell) : "La perception,
l'interprétation et les signes
artistiques"
Jean-Pierre Kaminker (U. de Perpignan) : "En guise
de conclusion"
Pour ceux que cela peut intéresser - les
linguistes, notamment-, nous
rappelons que les textes (non-révisés) en
anglais, qui paraîtront à
l'automne aux éditions Berghahn, peuvent encore être consultés sur le site
web du
colloque (rubrique "participants") :
http://www.univ-perp.fr/csp2001/
Victor
Friedman, Univesity of Chicago, US: "Interrogation
and
Nonconfirmativity: A Peircean Approach to the Intersection
between
Expressive Past and Present".
Robert Innis, University
of Massachusetts, Lowell, US: "Perception,
Interpretation and the
Signs of Art".
Laura Janda, University of North Carolina, Chapel
Hill, US: "Cognitive Hot
Spots in the Russian Case System".
Tony
Jappy, University of Perpignan, France: "Indication, Iconicity,
Grammaticalization and the
Categories".
Jörgen Dinès Johansen, University of Southern Denmark, Odense,
Denmark:
"Iconizing Literature".
Dan Nesher,
University of Haifa, Israel: '"Our Senses as Reasoning
Machines"
Prove Our Perceptual Judgments are True Representations
of
External Reality'.
João Queiroz, University of Sao Paolo,
Brazil: "The Biological Substrate of
Icons, Indexes and Symbols
in Animal Communication: a Neurosemiotic
Analysis of Vervet
Monkey Alarm-calls".
Joëlle Réthoré, University of
Perpignan, France: "The Sense of Language (as
langage) and the Nonsense of
Languages (as langues): Iconicity
versus
Arbitrariness".
Michael Shapiro, Brown University,
US:
"Aspects of a Neo-Peircean
Linguistics: Language History as
Linguistic Theory".
Nils Thelin, University of Oldenburg, Sweden:
"Biopragmatism, Space/Time
Cognition, and the Sense of
Language".
Bien cordialement,
Tony Jappy et Joëlle
Réthoré
Joëlle Réthoré
Directrice de l'IRSCE
Université
de Perpignan
52 Av. de Villeneuve
bât P3
66860 Perpignan
Cedex
tél 33 (0)4 68 66 74 25
fax 33 (0)4 68 50 12 89
[email protected]
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Desarrollos peirceanos 24
OBJETO PEIRCEANO
Chers
collègues,
En 1991, nous avons organisé un colloque en
hommage à Gérard Deledalle, sur
le thème de "L'Objet". Les actes
ont été publiés par the European Journal
for Semiotic Studies/Revue Européenne d'Etudes sémiotiques
(ISSS, Vienna,
Austria, ed. J. Bernard), vol. 5 - 1, 2, 1993, sous le
titre "Variations sur
l'objet, En hommage à Gérard
Deledalle".
Ont participé au colloque et à l'ouvrage (éd. J.
Réthoré) : 1. L'objet en
philosophie : K.O. Apel, A. Krémer-Marietti, P.
Thibaud, J.D. Johansen, H.
Parret ; 2.
L'objet en création : J. Fisette, S. E. Larsen, E. Walther,
F.
Caruana ; 3. Situation de la Sémiotique en Autriche, Croatie,
République
Tchèque et Slovaquie : G. Withalm et J. Bernard, V.
Biti, J. Doubravova ; 4.
L'objet en linguistique : C. Normand, J.
Rey-Debove, J. Lavédrine, B.
Gardin, J.P. Kaminker, T. Jappy, J.
C. Coquet, P. Siblot, B.N. Grunig, P.
Cotte.
Vous
reconnaîtrez parmi les auteurs le nom d'un certain nombre de
chercheurs
peirciens.
Bien cordialement
Joëlle
Réthoré
Directrice de l'IRSCE
Université de Perpignan
52
Av. de Villeneuve
bât P3
66860 Perpignan Cedex
tél 33 (0)4
68 66 74 25
fax 33 (0)4 68 50 12 89
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Desarrollos peirceanos 25
PÁGINA
RECOMENDADA
http://www.unav.es/gep/AN/ANIndice.html
C.S.
Peirce y la abducción.
Analogía Filosófica XII/1
(1998)
Cordialmente,
Eduardo
Desarrollos peirceanos 26
LA
INFERENCIA COMO ABDUCCIÓN
Hola Aníbal (con
tilde):
Sobre los procesos de inferencia en semiótica
sobre
todo desde una dimensión heurístico-productiva
tienes
que buscar en el concepto de abducción de
Peirce.
En semiótica, la Abducción no se refiere a
contactos
con extraterrestres (desafortunadamente los
UFÓlogos
emplean el mismo término cuando un ser humano
es
capturado por un plato volador...).
Se trata de un tipo
de inferencia vecina de la
inducción (inferencia de una regla a
partir de una
serie de casos que producen un resultado
similar),
alejada de la deducción (inferencia de un resultado
a
partir del conocimiento de una regla que se aplica a
un caso
específico) pero que constituye un caso
especial y arriesgado (se
hipotiza de forma operativa
la regla a partir de un resultado
específico pero sin
la copresencia de varios casos homogéneos).
En realidad las inferencias abductivas semióticas
son
mucho más común de lo que pensamos (y más estudiables
que
las de los UFÓlogos). Las hacemos todo el tiempo
para desambiguar
y comprender situaciones específicas.
OJO: El concepto de
heurístico te hará referirte a
partes iniciales de procesos
inferenciales, fases
operativas no sistemáticas y difícil de
domesticar por
medio de lógicas lineales.
Puedes encontrar
artículos interesantes sobre el tema
en Arisbe: International
Peirce Telecommunity que
dirige Josep Ransdell.
http://members.door.net/arisbe/arisbe.htm
Algunos artículos On line disponibles som los
siguientes
(los he encontrado en mi linkoteca personal
pero no puedo darte
una opinión documentada con
respecto a su contenido pues no los
he estudiado a
fondo, agradecería tu comentario):
http://seamonkey.ed.asu.edu/~alex/pub/Peirce/Logic_of_EDA.html
http://cogsci.uwaterloo.ca/Articles/Pages/Abductive.html
El
texto de referencia es el clásico escrito por
los
Sebeock:
Sebeock, J. A., y J. Uniker Sebeock: You Know
My
Method: A juxtaposition of Charles Peirce &
Sherlock
Holmes. Indianapolis, Gaslight Publications,
1979
(existe Traducción al castellano).
Puedes obtener
información sobre diferentes tipos de
abducción en
ECO,
Umberto 1990 Los límites de la interpretación;
Barcelona: Lumen;
1992.
Un par de conceptos desarrollados por la
inteligencia
artificial que son muy útiles para la la
determinación
de mapas situacionales que determinan o proveen
las
constricciones que limitan las inferencias posibles
en
situaciones determinadas son los de marco (Frame) y
Guión
(script).
A propósito puedes consultar:
SCHANK, Roger
y ABELSON, R. P. 1977 Guiones, planes,
metas y entendimiento;
Barcelona: Gedisa; 1988.
MINSKY, Marvin 1975 "A framework
for representing
knowledge" en WINSTON, Patrick ed.; The
Psicology of
computer vision; Nueva York: Mc Graw-Hill. 1985
The
society of mind; Nueva York: Simon & Schuster.
(Minski tiene una página web personal muy útil, no
tengo
la dirección a mano, pero no es difícil de
encontrar)
Es
estos artículos hablo un poquito de estas nociones:
http://www.geocities.com/lopezcano/articulos/EGL.html
http://www.geocities.com/lopezcano/Expresive.htm
Un
abrazo
Rubén López Cano
=====
Rubén López Cano
http://www.geocities.com/lopezcano/index.html
Desarrollos peirceanos 27
PEIRCE - MUSEO
Estimadas/os
SEMIOTICIANS:
No dejo de lado el análisis de SEMÁNTICA VISUAL
sobre el que venía trabajando,
pero, incidentalmente, he tenido
que desarrollar el SIGNO DE PEIRCE aplicado al
análisis de
determinadas entidades que son objeto temático de
investigaciones
en curso y me parece oportuno hacer un paréntesis
para compartir y discutir
algunos resultados.
Al análisis
peirceano se lo considera DIFÍCIL. Lo es, al menos hasta que
se
adquiere cierta familiaridad con él. Yo propongo el siguiente
intercambio: aquí
les ofrezco un análisis, DE COMPLEJIDAD
CRECIENTE, a partir de la estructura
triádica del signo
peirceano, cerca del objeto temático de investigación:
MUSEO
(solicito a los integrantes del EQUIPO DE INVESTIGACIÓN
SOBRE EL MUSEO y a
quienes me han escrito para participar en el
EQUIPO VIRTUAL SOBRE EL MUSEO, que
lo lean con especial atención,
ya que, tras las discusiones correspondientes,
puede constituir
el esquema de trabajo para este año).
Vosotras/os,
estimadas/os SEMIOTICIANS, podríais seguir las pautas
de
desarrollo que aparecen en el texto que sigue, aplicándolas a
algún tema que
estéis trabajando o en el que estéis interesados
en investigar. Cada uno puede
aportar su propuesta y leerla,
comentarla, discutirla entre todos. Claro, somos
más de 700, pero
estoy seguro de que no todos vamos a participar; ojalá
me
equivoque.
De todas formas, no creo que con sólo leer
mi trabajo (empírico y de
aplicación) podáis utilizarlo para
vuestro propio análisis. Quizá sí. Pero me
parece que el
conocimiento de la estructura teórica del pensamiento
peirceano
es necesario. Ya hay bastante escrito sobre el Signo de
Peirce. Como sabéis, en
www.archivo-semiotica.com , está mi texto
EL SIGNO, la segunda de cuyas partes
consiste justamente en la
exposición de la estructura triádica originaria de
Peirce.
Quienes ya tienen una cierta base teórica peirceana, creo que están
en
perfectas condiciones para utilizarlo; para los que no la
tienen puede ser como
un primer paseo por el bosque, donde puedo
asegurarles que NO ESTÁ EL LOBO.
Hay que tener en cuenta que
NO EXISTE UN SOLO MODO VÁLIDO de desarrollar este
esquema. Más
bien, EXISTEN TODAS LAS VARIANTES que admite cada objeto o
enfoque
analítico del objeto que se estudie, SIEMPRE QUE SE
CONSERVE LA LÓGICA DE LA
ESTRUCTURA TRIÁDICA.
O sea, mi
esquema acerca del MUSEO no es el único válido (aparte de
eventuales
deslizamientos lógicos en los que puedo haber
incurrido), es sólo una
interpretación
posible.
Aconsejaría no convertirlo en un MERO EJERCICIO
LÓGICO, sino utilizar el
despliegue de aspectos y características
que va generando el análisis como
INSTRUMENTO PARA LA DETECCIÓN
DE ASPECTOS INTERESANTES, DE RELACIONES
SIGNIFICATIVAS, DE
POSIBILIDADES ABDUCTIVAS (o sea, extracción de ideas y
puntas de
exploración, a partir de los conocimientos conscientes y no tanto,
y
de la propia experiencia) que pueden orientar o enriquecer una
determinada
investigación.
Supongo que seguiremos
comunicándonos sobre este tema, ya que son muchos los
aspectos
que suscitarán dudas y problemas, con lo que SEMIOTICIANS
continuará
tomando la configuración de una GRAN MESA DE DEBATE Y
DE GENERACIÓN DE IDEAS
CREATIVAS (y hasta creadoras).
No
excluyo la posibilidad de que, alguna/o de vosotras/os decida, en
virtud del
principio de la SEMIOSIS INFINITA, continuar la
expansión y multiplique cada
uno de estos 27 signos por 3 (su
respectiva FORMA, EXISTENCIA y VALOR), con lo
que se alcanzaría
la notable cifra de 81 matices - variaciones del signo que
esté
estudiando.
Creo que ciertos rasgos que utilizo en el
original de este mensaje, para
realzar o destacar el texto, como
el uso de tamaños diferentes de letra y de
negrita y cursiva, se
pierden en la forma con la que se reciben los mensajes.
Por eso,
habitualmente, acudo al uso de MAYÚSCULAS para resaltar
algunas
expresiones, ya que son las únicas que sé que llegan tal
como las escribo. De
todas formas, este mismo texto, con sus
variaciones tipográficas (muy pocos y
no sustanciales) lo he
subido a la OTRA página:
http://go.to/centro-investigaciones-semioticas
en
cuyo ÍNDICE podéis encontrarlo, con el hipervínculo
"Peirce-Texto-Museo".
Cordialmente,
Juan
-----------------------------------------
PEIRCE
- MUSEO
SIGNO TRIÁDICO
----------
[Analítico
1: las 3 partes del signo -FORMA, EXISTENCIA, VALOR-]
1.2
EXISTENCIA DE LA FORMA: ICONO
[5] DISEÑO DE LA EXHIBICIÓN
EFECTIVAMENTE DIBUJADO
2.2 EXISTENCIA DE LA EXISTENCIA:
ÍNDICE
[14] LA EXHIBICIÓN
3.2 EXISTENCIA DEL VALOR:
SÍMBOLO
[23] LA INTERPRETACIÓN EFECTIVAMENTE PRODUCIDA EN LA
MENTE DE LOS VISITANTES A
LA
EXHIBICIÓN
----------
[Analítico 2: los 9 signos (3
-FORMA, EXISTENCIA, VALOR- por cada uno de los
3
anteriores)]]
1. NIVEL ICÓNICO:
1.1 FORMA DE LA
FORMA: CUALISIGNO
[2] EL DISEÑO POSIBLE DE DETERMINADA
EXHIBICIÓN
1.2 EXISTENCIA DE LA FORMA: ICONO
[5]
DISEÑO EFECTIVAMENTE DIBUJADO
1.3 VALOR DE LA FORMA:
RHEMA
[8] EFICACIA REPRESENTATIVA DEL DISEÑO
DIBUJADO
2 NIVEL INDICIAL:
2.1 FORMA DE LA EXISTENCIA:
SINSIGNO
[11] LA FORMA DE LA EXHIBICIÓN
2.2 EXISTENCIA
DE LA EXISTENCIA: ÍNDICE
[14] LA EXHIBICIÓN
2.3 VALOR
DE LA EXISTENCIA: DICISIGNO
[17] EL VALOR CONJUNTO DE LA
EXHIBICIÓN
3 NIVEL SIMBÓLICO:
3.1 FORMA DEL VALOR:
LEGISIGNO
[20] LAS INTERPRETACIONES QUE SON POSIBLES PARA LOS
VISITANTES
3.2 EXISTENCIA DEL VALOR: SÍMBOLO
[23] LA
INTERPRETACIÓN EFECTIVAMENTE PRODUCIDA EN LA MENTE DE LOS
VISITANTES
3.3 VALOR DEL VALOR: ARGUMENTO
[26] EL
VALOR DIALÉCTICO DE LAS INTERPRETACIONES PRODUCIDAS EN LA MENTE DE
LOS
VISITANTES
----------
[Analítico 3: los 27
signos (3 -FORMA, EXISTENCIA, VALOR- por cada uno de los
9
anteriores)]
1. NIVEL ICÓNICO
1.1 FORMA DE LA
FORMA: CUALISIGNO
[1] FORMA DEL CUALISIGNO: CUALIDADES
FORMALES SELECCIONADAS
[2] EXISTENCIA DEL CUALISIGNO: EL
DISEÑO POSIBLE DE DETERMINADA EXHIBICIÓN
[3] VALOR DEL
CUALISIGNO: SISTEMA DE CUALIDADES FORMALES DISPONIBLES
1.2
EXISTENCIA DE LA FORMA: ICONO
[4] FORMA DEL ICONO: RASGOS
PERCEPTUALES UTILIZADOS
[5] EXISTENCIA DEL ICONO:DISEÑO
EFECTIVAMENTE DIBUJADO
[6] VALOR DEL ICONO:EL VALOR DEL
DISEÑO EN FUNCIÓN DE LO EXHIBIBLE
1.3 VALOR DE LA FORMA:
RHEMA
[7] FORMA DEL RHEMA: VALOR EXPRESIVO DE LOS RASGOS
UTILIZADOS
[8] EXISTENCIA DEL RHEMA: EFICACIA REPRESENTATIVA
DEL DISEÑO DIBUJADO
[9] VALOR DEL RHEMA:VALOR DIFERENCIAL DEL
DISEÑO ELEGIDO
2 NIVEL INDICIAL:
2.1 FORMA DE
LA EXISTENCIA: SINSIGNO
[10] FORMA DEL SINSIGNO:LA FORMA EN
QUE ESTÁ DISPUESTO CADA UNO DE LOS OBJETOS
[11] EXISTENCIA
DEL SINSIGNO: LA FORMA DE LA EXHIBICIÓN
[12] VALOR DEL
SINSIGNO: LA FORMA SECUENCIAL DEL RECORRIDO
2.2 EXISTENCIA DE
LA EXISTENCIA: ÍNDICE
[13] FORMA DEL ÍNDICE: LOS OBJETOS
EXHIBIDOS
[14] EXISTENCIA DEL ÍNDICE: LA
EXHIBICIÓN
[15] VALOR DEL ÍNDICE: EL RECORRIDO
2.3
VALOR DE LA EXISTENCIA: DICISIGNO
[16] FORMA DEL DICISIGNO:
EL VALOR ATRIBUIDO A LA FORMA DE CADA OBJETO
AL
EXHIBIRLO
[17] EXISTENCIA DEL DICISIGNO: EL VALOR
CONJUNTO DE LA EXHIBICIÓN
[18] VALOR DEL DICISIGNO: EL VALOR
PARTICIPATIVO DEL RECORRIDO
3 NIVEL SIMBÓLICO:
3.1
FORMA DEL VALOR: LEGISIGNO
[19] FORMA DEL LEGISIGNO: LA
POSIBILIDAD DE ESTABLECER DETERMINADAS
RELACIONES
INTERPRETATIVAS
[20] EXISTENCIA DEL LEGISIGNO:
LAS INTERPRETACIONES QUE SON POSIBLES PARA
LOS
VISITANTES
[21] VALOR DEL LEGISIGNO: LOS HÁBITOS
INTERPRETATIVOS POSIBLES DE LOS VISITANTES
3.2 EXISTENCIA DEL
VALOR: SÍMBOLO
[22] FORMA DEL SÍMBOLO: CADA UNA DE LAS
RELACIONES INTERPRETATIVAS
EFECTIVAMENTE ESTABLECIDAS
[23]
EXISTENCIA DEL SÍMBOLO: LA INTERPRETACIÓN SINTÉTICA
EFECTIVAMENTE
PRODUCIDA EN LA MENTE DE LOS VISITANTES A LA
EXHIBICIÓN
[24] VALOR DEL SÍMBOLO: EL HÁBITO
INTERPRETATIVO
3.3 VALOR DEL VALOR: ARGUMENTO
[25]
FORMA DEL ARGUMENTO: EL VALOR COGNITIVO DE LAS RELACIONES
INTERPRETATIVAS
[26] EXISTENCIA DEL ARGUMENTO: EL VALOR
DIALÉCTICO DE LAS INTERPRETACIONES
PRODUCIDAS EN LA MENTE DE LOS
VISITANTES
[27] VALOR DEL ARGUMENTO: LA SUPERACIÓN DE LOS
HÁBITOS INTERPRETATIVOS
PRECEDENTES
Juan
Magariños de Morentin
Universidad Nacional de La
Plata
Universidad Nacional de Jujuy
Tel/Fax: 54 11 4862
4813
http://www.magarinos.com.ar/
http://www.archivo-semiotica.com/
http://go.to/centro-investigaciones-semioticas