Et ce fut l amour,et ce fut ma fin

Bon, et maintenant pour ne pes renier ma langue principale (et merde je suis tellement nul en arabe ,c'est honteux......mais bon
Donc mes chers petits,fallait bien que j'ecrive quelques merdes in french.....nein????Danke
d'où voici
 
 
AMOUR PLATONIQUE
Pénètre-moi de tes beaux yeux perçants
Touche ma mortelle dépouille même un bref instant 
Remplis ma bouche de ton suc délicieux
Verses-y de ce poison qu’on appelle Amour
Je garderai quelque part dans mon esprit
Le souvenir de cet instant où de toi je me suis épris 
Le jour où avec mon cadavre je t’ai fait la coure 
L’instant  où tu as daigné me paraître 
Oh ! maléfique créature toi la beauté toi l’Etre 
Enfin l’amour suicidaire me tend ses bras
Enfin mon sang remplira les égouts 
Mon liquide séminal souillant les draps
Tandis que s’affole puis s’affaiblit mon pauvre pou
Oh éternelle beauté merci de m’avoir choisi 
Accepte ma mort gage de mon amour ultime
Je te suivrais  tout au fond des abysses 
Pour que s’amplifie mon supplice
L’instant où je pourrai  posséder ton cadavre sublime
AMOUR ?
Je t’ai attendu toute une vie
Et aujourd’hui je regrette t’avoir connu
La mélancolie ne me quitte plus
Tandis que ton image hante mes nuits 
Je ne mérite point tant de souffrance
Epargne ma triste existence
Sauve mon cœur de cette tuerie
Mes larmes pleurent cette malédiction
Mon cœur est mort ,l’amour son infection
Depuis que ton être m’a détruit 
Depuis que ton «non» me fit sombrer dans la nuit
Refuser mon offrande est tellement cruel
Mais comme toi , ta cruauté reste belle
Je t’aime toujours mais je me méprise
Je n’ai plus ni amour propre ni fierté
J’aimerais tant retrouver ma liberté 
J’aimerais tant me libérer de ton emprise 
Mais comme peine je reste amoureux
Un mal être de plus en plus douloureux
Sentiments qui me suivront jusqu'à ma tombe
Chaque jour je scrute l’instant libérateur
Lorsque la mort m’enverra sa noire colombe
Pour m’annoncer la fin de mon calvaire
Et même dans la mort je garderai ce goût amer
Celui des jours heureux à jamais perdu 
Mon cadavre pleurera mon amour vaincu

 
 La vie peut être drôle
Assis seul dans la nuit 
Je me mets à réfléchir
Sur le sens de ma triste vie
Une idée simple me fit sourire
La solution à tous mes malheurs
La fin de mes incessants pleures 
Une idée «renversante » si je puis dire
Une idée radicale, loin d’être la pire
Mais le courage me fait défaut
Cet immeuble a l’air si haut
Soudain une faible brise se fit sentir
Une sorte d’encouragement divin
Où est-ce l’appel du malin ?
Qu’importe voici le moment d’en finir
Je regrette l’absence de témoins
Une si belle chute, un si «beau » morceau et personne 
Une musique débile se fit entendre au loin
Je peste cette agression sonore
Je me dépêche, voici bientôt l’aurore 
L’heure du spectacle approche, le glas sonne
Je me suis fait beau exprès pour l’occasion
J’espère devenir célèbre, passer à la télévision
Que vont-ils sur moi dire ?
«Une autre victime de la musique extrême » 
Cette idée me fit éclater de rire 
Je perdis l’équilibre et sombrais dans le vide
Au moins j ‘étais heureux dans mon suicide
Cueillant au passage mes propres chrysanthèmes 
 Le bonheur est si simple 
On m’a dit de sourire que la vie était belle
On m’a  dit « écoute le chant des hirondelles » 
Que la vie était une magnifique aquarelle 
Qu’elle n’est pas comme je l’imagine un fardeau 
La joie finira t elle par percer mes lambeaux ?
Mon cœur pourra t il battre la chamade ?
Une lueur commençait à jaillir 
Elle se fit dans mon être sentir
J ‘allais enfin être heureux 
Le coté « rose » brillant se reflétait sur mon visage radieux 
Je sentais en moi l’essence même de la vie
Mes soucies n’étaient plus qu’images lointaines
J’approchais de l’extase de sa source je voyais la fontaine
Le soleil était devenu un allier dans cette journée de folie
Un soupçon de sourire se dessina sur mon visage
Je m’approchais de l’île du Bonheur , voici ses rivages
Ca y est presque je le sens en moi la naissance d’un rire
Et puis …et puis je me réveille affalé sur le sol humide
J ’avais vraiment trouvé le bonheur mais dans le suicide
Cette idée me fit éclater d’un rire fétide 
Enfin , enfin j ’étais entrain de mourir 
L’existence 
Comment pourrai-je écrire un poème d’amour 
Comment pourrai-je te dire je t’aime ?
Avec mon cœur pétrifié aveugle et sourd
Oui quand je te vois j’oublie ma peine 
Mais de la à dire que je suis humain
A  penser que je puisse rêver d’un lendemain 
Où le mot amour aurait pour moi un sens
Pourquoi ne puis-je pas aimer ?
Pourquoi ne puis je pas aider ?
Au lieu de chercher la haine préférer son absence 
Mon cœur ne comprend il que des sentiments négatifs ?
Sombrer dans le désespoir hâtif 
La vie est-elle si noire que je le crois ?
Où est-ce seulement la mienne qui me pousse au désarroi
Pourquoi  mes vers ne peuvent-ils refléter la joie ? 
Suis je un autre jésus avec la vie comme croix ? 
Chaque fois que je prend une feuille et ma plume
J’espère écrire en rose des phrases aussi fraîches que l’écume 
Mais c’est bien le noir qui prend le pas
C’est bien la tristesse qui se dessine 
C’est ce que j’ai en moi qui me donne cette triste mine
Lugubre et glauque est ma vie
Lugubre et glauque sont mes piètres écrits
Suis-je normal dans ma tristesse ?
Ou sont ils anormaux dans leur bonheur 
Suis-je le seul que la vie blesse ?
Suis-je le seul à vivre dans le malheur
MA VIE
Ma vie ne vaut pas la peine
La peine c’est tout ce que j’ai obtenu
Obtenir un sursis de la vie
L’envie d’être autre
Autre part qu’ici
Ici je ne vis que souffrance
Souffrir à chaque battement
Battre en retraite s’avouer vaincu
Vaincre ma peur de la mort
Mourir pour respirer la quiétude
Quitter cet océan de malheur
L’heure de ma mort a sonné 
Un sonnet un poème et des chrysanthèmes 
Le thème de mon épitaphe sera le malheur 
L’heure de stopper le décompte du temps
Tant que je vis je pleure et je gémis
J’ai mis tant de cœur à l’ouvrage
La rage de subir ma naissance
Le sens de la vie dans la douleur  est inné 
Né je suis, infanté pour mourir
Rire jamais pleurer toujours
Jours après jours et après 
Apre est ma chienne de vie
L’envie de mourir, de cesser 
  Ce poeme n'a de titre que dans ma tête
Un ange m’adressa la parole tout à l’heure 
Son sourire  pénétra au plus profond de mon âme
Ca voix douce me rempli de bonheur
Tandis que mes yeux contemplaient ses charmes
Je ne peux expliquer ni comprendre mes sentiments
En effet je n’ai jamais connu l’amour
Mon cœur aux sentiments joyeux était sourd
Et puis tu es apparu et se furent de superbes moments
Merci de m’avoir pris oh déesse
Mon corps frémit à chacune de tes caresses 
Je chérit ce jour béni où tu entras dans ma vie
Mon destin changea ce jour 
La joie qui chasse le chagrin pour toujours
Pour le bonheur présent et à venir merci
Pour m’avoir sauver de ma triste existence
Je t’aime d’un amour fou mais dangereux
Je ne pourrais plus vivre sans être heureux
A tes côtés  pour  respirer ta présence
Si un jour tu décides de me quitter
Ma mort sur ta conscience tu auras
Mais pour le moment je préfère ne pas y penser
Simplement me prosterner et boire de ton aura 
  SUICIDAIRE
Suicidaire de la vie je veux fuir
Suicidaire de mon agonie je veux en finir
Suicidaire je ne peux plus de souffrir 
Suicidaire je n’ai depuis longtemps plus de larmes
Suicidaire la mort me dévoile ses charmes
Suicidaire Assez, Assez, Pitié, Assez 
Suicidaire un acte égoïste et courageux 
Suicidaire chercher la mort n’est pas l’apanage des peureux 
Suicidaire les plaies de mon âme sont si profondes
Suicidaire de cette vie je ne veux plus subir les secondes
Suicidaire le moment fatidique n’est plus loin
Suicidaire je prépare le rituel avec soin
Suicidaire la mort s’approche salvatrice
Suicidaire que s’accomplit ton œuvre destructrice
Suicidaire égoïste j’oublie la peine de mes aïeux
Suicidaire que pleurent ceux qui m’ont jeté cette malédiction 
Suicidaire enfin je réalise que je ne vis plus une fiction
Suicidaire que la lame tranchante du couteau s’approche de mon poignet
Suicidaire que se libère mon âme via ces cicatrices 
Suicidaire je m’arrête j’ai peur je frémis 
Suicidaire souffrir cet instant ou souffrir une éternité
Suicidaire que ma vie s’achève à n’importe quel prix
Suicidaire la lame embrasse mon poignet endolori 
Suicidaire mon âme jaillit je pousse de soulagement un cri
Suicidaire moi voici libéré je contemple un cadavre 
Suicidaire serein je cherche dans l’attente de paix son havre