I) DEFINITION ET OBJET DU COMMENTAIRE DE TEXTE
IV) LA PREPARATION DU COMMENTAIRE
V) L’INTERET PHILOSOPHIQUE DU TEXTE (PARTIE REFLEXIVE)
VI) LA REDACTION (dernière étape du travail après le travail de préparation)
1) L’introduction (20 lignes maximum)
3) La partie réflexive (2 pages maximum)
4) La conclusion (10 lignes maximum)
L’EXPLICATION DE TEXTE – GRILLE D’EVALUATION
FICHE D’AUTO-EVALUATION POUR LE COMMENTAIRE DE TEXTE
- Il s’agit d’expliquer un texte de 15 à 30 lignes environ dont l’auteur appartient à la liste du programme (mais l’œuvre dont le texte est tiré n’est pas citée). Ce texte est précédé des instructions suivantes : “ dégagez l’intérêt philosophique du texte suivant en procédant à son étude ordonnée “. L'objectif de l'explication de texte est de clarifier le problème contenu dans le texte en pénétrant le thème et la thèse, puis de bien dégager l’organisation conceptuelle et, enfin, de procéder à une étude réflexive sur les lignes proposées.
- Le but de l’exercice est donc double :
1) expliquer un texte philosophique (étude ordonnée) : le candidat est jugé sur sa capacité à repérer les enjeux philosophiques du texte, à en expliquer les concepts et à en exposer l’argumentation ;
2) évaluer ce texte de façon critique (intérêt philosophique) : le candidat est jugé sur sa capacité à situer la thèse du texte dans un débat philosophique dont il faut exposer les positions.
- Deux plans sont possibles ( il n’y a pas de méthode imposée):
1) le plan en deux parties : 1. étude ordonnée 2. intérêt philosophique ;
2) le plan en une seule partie qui évalue le texte de façon critique au fur et à mesure de son explication. La première solution (dégager l’intérêt du texte dans une partie spécifique) semble la plus facile à organiser (c'est celle que nous apprendrons dans un premier temps), même si elle s’avère philosophiquement moins pertinente que la seconde.
1. La paraphrase : répéter approximativement ce que dit l’auteur sans dégager l’ordre des idées ni expliquer leur contenu. Le texte ne doit pas être un prétexte à discussion.
2. Les digressions : remarques sans rapport avec le problème qu’examine le texte.
3. Etude partielle : privilégier des fragments du texte, s’occuper uniquement d’un passage du texte, tenir à l’écart certaines parties.
4. Etude pointilliste : s’égarer dans le mot à mot, au lieu de procéder globalement en s’attachant à l’essentiel.
5. La réduction du commentaire à une dissertation : mettre le texte de côté ou entre parenthèses et mener à bien un autre exercice.
6. Le résumé-discussion : ne pas résumer le texte avant de choisir un thème à débattre.
7. L’explication psychologique, sociologique ou historique : on n’expliquera pas, par exemple, l’impératif catégorique par l’enfance piétiste de Kant, ni la tempérance de Socrate par sa laideur. De même, si un philosophe est le produit de son époque, il ne s’y réduit pas : un problème philosophique ne doit donc pas valoir culturellement même s’il paraît être typique de telle époque ; il vaut pour un certain rapport au monde dont il faut rendre compte, et qu’il est toujours possible d’assumer.
1. Lecture attentive du texte.
2. Parier pour le sens du texte : prendre la peine de comprendre le texte, de l’expliquer, au lieu de conduire d’emblée une critique hargneuse ou dépourvue de compréhension vraie.
3. Ajuster sa réflexion au(x) problème(s) posé(s).
4. S’attacher à l’unité de la pensée de l’auteur.
5. Il s’agit, dans une explication de texte, de repérer plusieurs choses :
a) le problème dont traite le texte (interne au texte);
b) le contexte problématique (externe : le texte peut ne refléter qu’un aspect du débat);
c) la thèse du texte.
- Pour savoir quel est le problème dont traite le texte, il suffit de considérer le texte comme la réponse à une question non exprimée (sauf exception) et qu’il s’agit de retrouver. « A quelle question ce texte est-il une réponse ? » est donc une des premières questions à se poser pour procéder à l’étude ordonnée.
- Pour savoir quel est le contexte problématique, il faut découvrir à qui implicitement l’auteur s’adresse, ou après qui il en a, quelles sont ses intentions, quel est son projet.
6. Expliquer les concepts qui articulent le texte, souligner leur organisation interne, leur articulation.
7. Exposer l’argumentation du texte. L’argumentation, c’est l’enchaînement
démonstratif des concepts, c’est-à-dire la structure argumentative du texte. Il
convient donc de reprendre les différents moments du texte dans l’ordre (étude
ordonnée) pour l’expliquer. L’ordre de l’argumentation est essentiel : l’explication est
donc linéaire.
8. Expliquer le texte, rien que le texte. La règle de fidélité au texte est donc la règle
la plus importante, qui doit sans cesse être présente à l’esprit.
IV) LA PREPARATION DU COMMENTAIRE
- La préparation du commentaire – le « brouillon » en quelque sorte - est le travail préalable qu’il est indispensable de réaliser avant la rédaction proprement dite de l’explication de texte. Ce travail est absolument nécessaire, il doit être particulièrement soigné et réalisé méticuleusement car c’est lui qui va conditionner la réussite ou la qualité du devoir définitif. Pour ce faire, on peut suivre tout au long de l’année la méthode suivante.
- Consigne 1 : lisez le texte plusieurs fois. Chercher et encadrer les opérateurs logiques (locutions conjonctives, prépositives, adverbiales, membres de phrases…), souligner les mots essentiels et problématiques, les notions au programme, les termes philosophiques notamment.
- Consigne 2 : comprendre un texte argumentatif (les textes philosophiques sont généralement des textes argumentatifs), c’est être capable de répondre à cinq questions:
1. Thème : De quoi ce texte parle-t-il ? Quel(s) titre (s) pourriez-vous lui donner ?
2. Problème : Quelle est la question essentielle dont traite ce texte ?
3. Thèse, antithèse : Qu’est-ce que l’auteur soutient dans ce texte ? (thèse) Contre quelle conception s’élève-t-il ? (anti-thèse)
4. Enjeu : Pourquoi l’homme cherche-t-il à résoudre le problème défini en 2. ?
5. Construction du texte, principales articulations : Distinguez plusieurs parties dans ce texte. Donnez un titre à chacune. Comment la pensée progresse-t-elle dans ce texte ?
- Consigne 3 : Les concepts : Quels sont les concepts essentiels dans ce texte ? Faire l'inventaire des termes, expressions importants. Définissez la signification de chaque terme ou concept (dans le cadre du texte).
- Consigne 4 : remplissez le tableau suivant.
· La première colonne, intitulée “Ce que dit le texte”, permet de visualiser sa structure (les idées principales y sont résumées, les articulateurs logiques encadrés, les concepts fondamentaux soulignés; la fonction de chaque affirmation est indiquée en marge).
· La deuxième colonne, intitulée “Nos explications”, permet de noter succinctement les élucidations nécessaires pour rendre le texte compréhensible.
· La troisième colonne, intitulée “Nos questions”, est remplie en même temps que la deuxième. On y fait figurer les interrogations critiques. Pour réaliser ce tableau, le traitement de texte s'avère fort utile.
|
CE QUE DIT LE TEXTE |
NOS EXPLICATIONS |
NOS QUESTIONS |
PROBLEME |
|
|
|
THESE |
|
|
|
ARGUMENT 1 |
|
|
|
ARGUMENT
2 |
|
|
|
ARGUMENT
3 |
|
|
|
AUTRES
ARGUMENTS |
|
|
|
|
|
|
|
- Les résultats des deux premières colonnes (“ Ce que dit le texte ”, “ Nos explications ”) pourraient constituer la base de la première partie du devoir (“ la partie explicative “) qui consiste précisément à analyser et commenter le texte; ceux de la troisième colonne se rapportent à la deuxième partie (“ la partie réflexive”) dans laquelle il s’agit de définir l’intérêt philosophique du texte, c’est-à-dire de discuter, de dégager la portée du texte.
V) L’INTERET
PHILOSOPHIQUE DU TEXTE (PARTIE REFLEXIVE)
- L’intérêt philosophique a pour but l’évaluation critique du texte. Il représente la solution d’un problème central, ce qu’il produit historiquement dans la marche des idées et dans la tradition philosophique, mais aussi l’apport à une réflexion personnelle ou à des problèmes existentiels. C’est un petit essai personnel qui prend pour sujet les problèmes posés par le texte.
- Ce qu’il ne faut pas faire :
1) Ne pas profiter du texte pour raconter tout ce que l’on sait sur la doctrine de l’auteur ; l’intérêt philosophique n’est pas un prétexte pour exhiber sa culture philosophique.
2) Ne pas dérouler un catalogue d’auteurs à propos du problème traité dans le texte. Seuls les auteurs qui relèvent du contexte problématique sont pertinents. 3) ne pas traiter le problème du texte à part du contexte problématique du texte lui-même : le texte n’est pas un simple prétexte à discussion. Par suite : ne pas réciter un cours sur la notion correspondant au problème traité par le texte.
- Ce qu’il faut faire : le texte est à considérer comme la réponse à un problème que l’étude ordonnée a révélé ; l’intérêt philosophique est la discussion de ce problème. Discuter le problème, c’est faire surgir le contexte problématique (ou polémique), et évaluer la pertinence de la thèse.
- On peut envisager la partie réflexive (si traité dans une 2° partie, méthode conseillée) en 3 moments :
1) Reprise et élaboration du contexte problématique, situation du texte dans l’histoire des idées ; mettre en évidence le problème constitutif du texte, la manière dont l’auteur apporte une solution, les conséquences que la thèse de l’auteur implique sur un plan théorique et/ou pratique (moral, politique, etc.);
2) Enoncé d’une autre position possible pour lancer le débat ; s’attacher ainsi à l’originalité de la solution apportée par l’auteur, et ce au cours d’une confrontation avec un éventail de démarches ou réponses ; montrer, par conséquent, en quoi cette réponse particulière affirme sa supériorité;
3) Commentaires divers ; émettre un jugement faisant ressortir certaines équivoques ou contradictions du texte et tenter de dépasser ces contradictions en les intégrant dans un point de vue synthétique et global.
- Il faut toujours faire crédit à l’auteur et parier pour le sens du texte : les limites qu’on lui trouve sont peut-être simplement celles de notre compréhension. Ne pas se gausser d’un auteur, alors que toute une tradition intellectuelle lui accorde de la valeur. A l’inverse, ne pas s’accorder systématiquement avec l’auteur simplement parce qu’il est l’auteur : cette révérence envers les autorités peut être dangereuse si on manque l’aspect polémique d’une thèse.
VI) LA REDACTION (dernière étape du travail après le
travail de préparation)
- Pour la longueur du devoir, il est conseillé de viser une longueur totale de six à dix pages (dont deux pages environ seront consacrées à l’intérêt philosophique – la partie réflexive -, le reste étant dévolu à l’étude ordonnée). La partie réflexive ne doit pas être plus longue que la partie explicative ou étude ordonnée. Prévoir une introduction n’excédant pas une vingtaine de lignes et une conclusion très brève. La rédaction peut se dérouler en quatre moments :
1) L’introduction (20
lignes maximum)
- L’introduction a pour but de présenter le texte dans son contexte problématique et d’annoncer la discussion auquel il ouvre. L’introduction doit être courte, succincte, percutante et ne dégager que l’essentiel. A éviter absolument l’introduction - fleuve. L’introduction supposant que tout un travail préalable ait été réalisé, elle doit être rédigée systématiquement après l’œuvre de préparation.
- Ce qu’il ne faut pas faire :
1) Ne pas raconter la vie de l’auteur, ou énoncer ses œuvres. L’anecdotique ne relève pas des exigences de cet exercice.
2) Ne pas commencer par un résumé du texte ou par une longue entrée en matière (généralités à propos du thème).
3) Eviter les formules stéréotypées du genre “ il s’agit là du problème le plus intéressant ”, “ l’auteur, grand philosophe allemand ”, etc.
- Ce qu’il faut faire :
1) Formuler le thème (de quoi parle l’auteur : l’histoire, l’art…);
2) Enonciation du contexte problématique : état du problème posé de façon succincte;
3) La thèse (ce que l’auteur veut démontrer, l’idée directrice du texte, sa propre position à l’intérieur du contexte problématique défini précédemment) et, éventuellement, la thèse adverse.
4) Annonce de l’intérêt philosophique : soit de façon formelle (nous discuterons cette thèse...), soit en anticipant la position contraire ou polémique que l’on développera. On peut aussi signaler très brièvement la portée du texte, ce qu’il nous apporte sur un plan théorique et/ou pratique (moral, politique...), quel engagement il implique, son actualité;
5) Le plan bref du texte (les principales articulations, les moments et mouvements du texte, l’organisation logique des lignes, en indiquant entre parenthèses les subdivisions dans le texte).
1) Transformer le plan de l'explication effectué au brouillon en phrases. Ce plan est calqué sur celui du texte (l'explication doit être linéaire et suivre très précisément la progression rigoureuse du texte).
2) Faire des paragraphes pour chaque partie du plan. Sauter plusieurs lignes entre l’introduction, la partie explicative, la partie réflexive, la conclusion.
3) Expliquer l’organisation interne, l’ordre des idées, l’articulation des concepts, en suivant le fil du texte. Ne rien déplacer et modifier. Se laisser guider par les moments mêmes du texte.
4) Analyser les concepts importants, les définir, préciser leur contenu (ce qui est dit) et leur forme (comment cela est dit). A partir des définitions, aller au sens des phrases et expressions. Ne pas écarter l’analyse des exemples fournis par le philosophe.
5) Ménager des transitions entre les différentes parties de l’explication (bilan + annonce de la partie suivante).
6) Justifier toute affirmation au regard du texte.
7) Citer le texte régulièrement.
8) Eviter tout résumé de doctrine.
9) Veiller également au soin apporté à l’écriture (être lisible), à la correction du style et à l’orthographe, ainsi qu’à une disposition matérielle visant à mettre en évidence les étapes de l’argumentation (soigner les transitions qui servent de liaison entre les différentes parties). Utiliser tous les signes de ponctuation. Souligner les titres d’œuvres. Eviter toute familiarité déplaisante avec le texte ou l’auteur, un ton dédaigneux ou ‘’grand seigneur’’, ironique, etc.
3) La partie réflexive (2 pages maximum)
- Suivre le plan conseillé dans le travail de préparation (cf. Supra).
4) La conclusion (10 lignes maximum)
1) Faire un bilan de l’étude et définir le principal intérêt du texte.
2) Dégager brièvement la nature de la solution apportée au problème essentiel du texte.
3) Signaler éventuellement les difficultés que laisse subsister l’analyse de l’auteur.
NOTE
|
ELEMENTS D’EVALUATION : REALISATION DES
OBJECTIFS |
Entre 0 et 6
|
- Texte – prétexte. - Contresens non motivé. - Paraphrase narrative. - Intérêt philosophique du texte non dégagé. - « Copies studieuses » aux environs de 6 |
Entre 7 et 9 |
- Lecture « littérale » à peu près correcte du texte. - Quelques éléments épars d’analyse philosophique (repérage des idées, analyse des notions, repérage des articulations, passages bien argumentés). - Intérêt philosophique mal repéré. - Travail, dans l'ensemble, morcelé. |
Entre10-11 |
- Mise à jour et formulation du problème philosophique traité par le texte, ainsi que de la thèse de l'auteur. - Idées principales dégagées. Pas de contresens majeur. - Eléments épars d’analyse philosophique. Un effort pour mettre le texte en perspective (partie réflexive). - Cohérence d’ensemble du texte mal dégagée. |
12-14 |
- Explicitation claire du problème. Définition précise de la thèse de l'auteur. - Présentation cohérente de la démarche globale de l’auteur. - Travail d’analyse des concepts et de leur rôle dans le texte. - Un effort, même maladroit ou imparfait, pour mettre le texte en perspective |
Eléments
de Survalorisation (15-20) |
- Tous les points évoqués précédemment doivent impérativement être réunis. - Mise en perspective du texte. L'intérêt philosophique du texte est bien dégagé, ses principaux enjeux sont correctement mis en valeur. - Culture philosophique maîtrisée. - Texte situé dans la « tradition philosophique ». - Articulation du problème avec l’expérience et la culture de l’élève. - Explication des
présupposés, implications et enjeux du texte. |
Objectifs : je dois être capable de… |
Moyens : pour y parvenir
ai-je bien… |
N° devoirs |
1. Bien poser le vrai problème dans l’introduction, indiquer le contexte problématique |
- posé des questions au texte ? - découvert la question centrale organisant le texte ? - je n'ai pas apporté une réponse au problème dans l'introduction. |
O
N O N O
N
|
2. Définir, dans l'introduction, le thème du texte |
- repéré l'objet essentiel de la réflexion de l'auteur, en le distinguant de thèmes secondaires ou mineurs. |
O N |
3. Bien dégager, dans l'introduction, la thèse du texte |
- repéré, dans le texte, une phrase qui indique l'idée générale, la position du philosophe ? - éliminé l'accessoire ? - réalisé un court résumé du texte ? |
O N O N
O N
|
4. Exprimer les enjeux du texte (intro) |
- souligné la portée des lignes proposées, quel engagement il implique (intro) ? |
O N
|
5. Indiquer les principales articulations du texte |
- Indiqué, entre parenthèses, les subdivisions du texte ? - Dégagé uniquement les grandes lignes et non le plan détaillé ? |
O N O N |
6. Suivre l'ordre du texte, en calquant l'explication sur le plan du texte |
- Fait une explication linéaire - qui explicite ce qui est dit - et comment cela est dit? |
O N O N O N |
7. Citer régulièrement le texte |
- justifié ce que j'écris au regard du texte ? - attaché de l'importance aux termes, expressions, arguments utilisés, à la lettre du texte ? |
O N
O N |
8. Définir les concepts importants, les analyser, étudier leur relation |
- défini les principales notions - et retravaillé ces définitions ? |
O N
O N |
9. Analyser le sens des phrases et expressions |
- restitué le sens global du passage ? |
O N
|
10. Aller jusqu'à la fin du texte |
- n'ai sauté aucun passage du texte ? - ai expliqué même les dernières lignes ? |
O N
O N |
11. Tenir compte des exemples |
- expliqué le sens de ces exemples, - leur fonction, - leur valeur ? |
O N O
N O N |
12. Dégager l'intérêt philosophique du texte, moment par moment, ou bien dans une partie spécifique |
- mis en évidence la manière dont l'auteur apporte une solution au problème constitutif du texte ? - souligné l'originalité de la thèse, - son actualité, - ce qu'elle fait gagner au lecteur, - ses limites éventuelles? |
O N O N O N O N O N |
13. Bien structurer son explication |
- organisé plusieurs parties, - équilibrées entre elles, - avec des transitions entre elles, - une pensée qui progresse - et suit l'ordre du texte - sans piétiner et sans redites ? |
O N O
N O
N O
N O
N O N |
14. Eviter, dans la partie explicative, les références extérieures au texte |
- expliqué le texte, rien que le texte ? - évité tout résumé de doctrine, - toute digression ? |
N O N O N O |
15. Dans la conclusion, répondre au problème soulevé par le texte, faire un bilan rapide en s'attachant au gain de pensée qu'apporte le texte |
- répondu aux questions soulevées dans l'introduction ? - dégagé clairement la nature de la solution fournie par le texte en ce qui concerne le problème fondamental repéré dans l'introduction ? |
N O N
O |
O = oui
N = non |
|
©Tous droits réservés